Devenir papa.?!
Re: Devenir papa.?!
Personnellement, les gosses, ce n’est pas mon truc, je n’envisage pas d’en avoir. Je ne supporte pas que l’on me rétorque qu’une vie sans enfants n’a aucun sens, comme si nous étions tous destinés à avoir une descendance, à l’infini. Mon manque de patience à l’égard des gosses m’empêche d’être parent et sans doute, le choix de ne pas en avoir peut-il s’imposer sainement dans ces conditions.
Re: Devenir papa ?!
Je suis parfaitement d'accord avec toi, d'ailleurs la nature y pourvoit et l'histoire humaine nous le démontre tout le monde ne contribue pas à créer dans la chair, mais crée dans mille et un autres domaines, l'équilibre est fragile et se maintien comme il peut malgré la determination de certains à prendre le risque de l'extinction via là procréation à outrance ("le croissez et multiplier" de jadis devrait-être à mon sens relativisé et replacer là encore dans la réalité du monde et des ressources actuels !). Le dalaï lama pour ne citer que lui, estime même que le pire fléau de l'humanité pourrait devenir s'il n'est déjà la démographie galopante... Néanmoins, cela ne doit pas nous incliner en empêcher de faire des enfants en conscience, d'adopter des orphelins, soutenir ceux qui sont déjà là... ; de là à jouer les apprentis sorciers c'est une autre histoire et un vaste débat...
Re: Devenir papa.?!
Si ne pas avoir d'enfant contribue à l'extinction humaine, là je peux dire ouvertement "Et alors ?". Nous ne sommes pas indispensables et l'avenir de l'humanité réside plutôt dans un contrôle de la population. Mais là est un autre sujet, sans doute très intéressant à aborder.
Je pense néanmoins que ce peut être un argument contre ceux qui insinuent bêtement que l'homosexualité amène l'extinction humaine.
Par ailleurs, j'entends parfois que ne pas avoir d'enfants est une manifestation d'égoïsme. D'une part, je pense qu'il n'y a pas plus égoïste que le fait de faire un enfant pour soi, ce dernier n'ayant pas demandé à venir au monde ; d'autre part, l'égoïsme serait de faire un enfant alors que l'on n'a pas la fibre paternelle. Me concernant, je serais un très mauvais père et, dans ce cas, ne pas vouloir de gosses n'a rien d'égoïste, bien au contraire.
Je pense néanmoins que ce peut être un argument contre ceux qui insinuent bêtement que l'homosexualité amène l'extinction humaine.
Par ailleurs, j'entends parfois que ne pas avoir d'enfants est une manifestation d'égoïsme. D'une part, je pense qu'il n'y a pas plus égoïste que le fait de faire un enfant pour soi, ce dernier n'ayant pas demandé à venir au monde ; d'autre part, l'égoïsme serait de faire un enfant alors que l'on n'a pas la fibre paternelle. Me concernant, je serais un très mauvais père et, dans ce cas, ne pas vouloir de gosses n'a rien d'égoïste, bien au contraire.
Re: Devenir papa.?!
De nombreux mâles et femelles de la nature ne trouvent, cherchent pas à avoir projéniture, sont-ils égoîstes et devraient-ils ne pas exister ? Visiblement la réponse est non, ils ont entre autre leur "utilité" ailleurs ? En outre, de nombreuses s'éteingnent chaque jour, sans que personne ne s'en souci et pour cause nous y contribuons largement, alors pourquoi pas nous...?
Je partage ton avis sur de nombreux points, et notamment le fait que nous ne sommes sûrement pas indispensables, on le constate tous les jours jusqu'a ce qu'on trouve sa place, faire des enfants ne le serait pas plus, sur le fond. En même temps, je me dis qu'une alchimie à produit un résultat, nous sommes ce que nous sommes devenus ; mais peu de gens ont la lucidité de constater que nous sommes le produit "erreurs" ou d'un hasard, un accident fortuit... qu'on a pas vocation à réitérer ?
J'ai connu des femmes qui ont mis au monde alors qu'elles avaient un cancer en phase terminal ou des hommes assez "macho" plus maternant, protecteur et affectueux qu'une mère, on ne peut attester ou garantir de rien.
Et combien d'entre nous produisent ou naissent d'un hasard, d'un accident, d'une erreur... des milliers. Il faut dire que la sexualité et la procréation est un réflexe, avant un plaisir et que l'on ne maîtrise pas toujours... La nature le "maîtrise" tel un savoir faire, souvent bien plus que nous tout intelligent qu'on puisse se dire.
Engendrer, se nourir, aller où l'on veut, vivre, mourir selon sa volonté c'est d'une certaine manière être libre, or pour beaucoup ce n'est pas nous qui avons cette liberté de choix, volonté mais les concepts supérieurs ou tous ceux qui pourraient assumer, juger et pardonner leurs erreurs ! "J'ai tuer au nom de... untel ...nous a donner un enfant", etc; dieux, supérieurs, humains, autres ou science, c'n'est jamais moi c'est l'autre qui décide pour moi au besoin !
Rare sont ceux qui pourront dire sincèrement à leur enfant autre chose que "tu es là parce que je l'ai voulu" ou pas toujours ? (Sans pour autant donner des détails scabreux) mais au moins reconnaitre qu'ils ne nous doivent rien ou si peu sur ce point là, ce serait déjà tellement ! J'ai tendance à préferer quelqu'un qui assume son choix que celui qui le rejette sur autrui.
Je le constate tous les jours, nous sommes souvent en incapacité d'accepter déjà nos propres d'erreurs même en matière de procréation, faut dire qu'être "autonome" c'est oublier l'autre un peu, et ça qui le supporte, si lui-même ne l'est pas autonome et notamment un enfant ; hasard, reflexe, pulsion, accident comment pouvons nous imaginez venir de là, ça demande étude, discernement et compréhension, et de grandir.
Et quels dégâts quand on voit les personnes nés sous x, où qui ignorent leurs origines réelles bien qu'ayant officiellement un père et une mère modèle standard homologué par les institutions, à la maison, pour le pire et le meilleur !? Et qui malgré tout consultent car ils en crevent de mal être et de mensonge/ignorance... Il faut dire qu'un objet sorti de l'usine couple/famille n'a rien besoin de savoir, il a un père "chaine de montage" et une mère "haut fourneau" (avec jeu de mots ) mais de quoi se plaint-il ???
Devenir parents, père ou mère est un choix, une décision, mais qui n'aboutit pas toujours... et surtout un engagement pour un certain nombre d'années voire émotionnellement, affectivement parfois toute une vie... ou pas !
Chacun doit avoir ce choix sans être condamné systématiquement et sur le moyen tout comme sur le refus, or qu'on produise charnellement, qu'on adopte, accompagne un temps, éduque, crée dans la chair ou autrement, n'est pas le problème de fond, car on transmet toujours, et on s'imprime chez l'autre.
Le problème de fond est ailleurs; dans notre histoire les autorités qui nous dirigent civilement ou réligieusement ont reçus de nous (ou des peuples) ou on volé le droit d'autorisé, d'encourager certains à avoir des enfants et d'interdire à d'autres, en les castrants, stérilisants physiquement, spirituellement, hors nous avons naturellement ces pouvoirs là, inutile d'intervenir toujours en plus, bien des parents vivent aussi dans l'illusion que mettre au monde un enfant implique qu'il aura un enfant qui lui même etc..., non, ce n'est pas ainsi la réalité, et pas besoin d'avoir une séxualité ou un comportement estimé "hors norme"...
N'a d'enfant que celui ou celle qui fait en sorte d'en avoir, déjà... et cela passe aussi par un tier équipé pour, en général humain ordinaire ou scientifique, technicien... et bien d'autres conditions indépendantes de la volonté de beaucoup, mais il n'y a absolument aucune obligation, demandez aux Pandas, ils vous le dirons, ça parait simple mais ça ne l'est pas... si naturel !
Tu dis comme nous tous, parce que c'est devenu habituel, "Faire, avoir, désirer..." un enfant rien que les mots déjà en disent long sur le pouvoir qu'on s'arroge, alors le "faire" (fabriquer, façonner) pour soi ou pour de mauvaises bonnes raisons est selon moi aussi, effectivement une erreur de plus, (personnellement j'ai beaucoup appris de mes erreurs comme de celles des autres, on n'en fini jamais d'apprendre...) mais on découvre aussi c'est surtout une illusion, une croyance de plus et avant tout...
Oui, dans bien des cas nous décidons bien de mettre en route un projet d'enfant ou d'adoption, et alors !!! Bien des projets n'aboutissent jamais, c'est donc que nous ne possédons pas la toute puissance et domination sur la chose et dans ce domaine, le second problème réside peut-être dans le fait que mettre au monde est encore une chose terriblement pesante qu'on ne fait pas à la légère tant pour les garçons qui ne peuvent pas, que les filles qui "devraient en théorie" mais ne peuvent ou ne veulent pas toujours...
C'est égoîste au mauvais ou au bon sens du terme (car je ne condamne jamais l'égoïsme totalement il peut être vital) mais en procréant sur cette base, on réduit l'être humain à venir, à un objet de désir, on lui donne avant conception, une valeur souvent très élevée ou basse.... "quel prix/sacrifice êtes vous prêt à mettre pour avoir un enfant..." entend-t-on de plus en plus... On ne donne pas un enfant au monde, à des dieux hypothétiques, à un compagnon de vie, tel une offrande, en récompense, ou on ne s'offre pas un plaisir via un enfant... Comme propose F. Foresti halte aux illusions, tout en dédramatisant !
Je ne suis pas non plus pour qu'on monnaie un utérus comme un distributeur de boissons, ou alors laissons les autres parties du corps continuer à l'être en ce sens et là aussi y'aurais beaucoup à dire...
En même temps, et pour repondre à la question initiale, il faut aussi rester circonspecte, on peut changer d'avis, ceux qui ne veulent pas, pourront un jour vouloir... dans leur vie et inversement un enfant, rien n'oblige à ce que se soit les siens, mais ce qui dans tous les cas peut conduire à frustrations multiples, doit-on céder à la tentation ou surmonter de se voir refuser ou se refuser la satisfaction d'une demande pulsionnelle ???
Avoir une sexualité gay, bi ou autre éternelle ou passagère, durable ou ponctuelle, selon moi, n'a rien à voir avec la pulsion ou désir d'enfant... C'est une chose strictement personnelle et intime... Certes parfois accentuée par la pression ou non, alentour ou culturelle.
Pour beaucoup gay = stérile (ou devrait l'être) c'est tout aussi absurde pour les lesbiennes ou de penser qu'on est stérile définitivement, il y a des cas de blocages/déblocages qui démontrent le contraire. Ou "qu'un parent gay fabrique un gay."
Je ne sais pas si on pourrait résumer en: désir d'enfant passe par l'esprit, besoin ou réalisation d'enfant passe par les organismes ?
Je partage ton avis sur de nombreux points, et notamment le fait que nous ne sommes sûrement pas indispensables, on le constate tous les jours jusqu'a ce qu'on trouve sa place, faire des enfants ne le serait pas plus, sur le fond. En même temps, je me dis qu'une alchimie à produit un résultat, nous sommes ce que nous sommes devenus ; mais peu de gens ont la lucidité de constater que nous sommes le produit "erreurs" ou d'un hasard, un accident fortuit... qu'on a pas vocation à réitérer ?
J'ai connu des femmes qui ont mis au monde alors qu'elles avaient un cancer en phase terminal ou des hommes assez "macho" plus maternant, protecteur et affectueux qu'une mère, on ne peut attester ou garantir de rien.
Et combien d'entre nous produisent ou naissent d'un hasard, d'un accident, d'une erreur... des milliers. Il faut dire que la sexualité et la procréation est un réflexe, avant un plaisir et que l'on ne maîtrise pas toujours... La nature le "maîtrise" tel un savoir faire, souvent bien plus que nous tout intelligent qu'on puisse se dire.
Engendrer, se nourir, aller où l'on veut, vivre, mourir selon sa volonté c'est d'une certaine manière être libre, or pour beaucoup ce n'est pas nous qui avons cette liberté de choix, volonté mais les concepts supérieurs ou tous ceux qui pourraient assumer, juger et pardonner leurs erreurs ! "J'ai tuer au nom de... untel ...nous a donner un enfant", etc; dieux, supérieurs, humains, autres ou science, c'n'est jamais moi c'est l'autre qui décide pour moi au besoin !
Rare sont ceux qui pourront dire sincèrement à leur enfant autre chose que "tu es là parce que je l'ai voulu" ou pas toujours ? (Sans pour autant donner des détails scabreux) mais au moins reconnaitre qu'ils ne nous doivent rien ou si peu sur ce point là, ce serait déjà tellement ! J'ai tendance à préferer quelqu'un qui assume son choix que celui qui le rejette sur autrui.
Je le constate tous les jours, nous sommes souvent en incapacité d'accepter déjà nos propres d'erreurs même en matière de procréation, faut dire qu'être "autonome" c'est oublier l'autre un peu, et ça qui le supporte, si lui-même ne l'est pas autonome et notamment un enfant ; hasard, reflexe, pulsion, accident comment pouvons nous imaginez venir de là, ça demande étude, discernement et compréhension, et de grandir.
Et quels dégâts quand on voit les personnes nés sous x, où qui ignorent leurs origines réelles bien qu'ayant officiellement un père et une mère modèle standard homologué par les institutions, à la maison, pour le pire et le meilleur !? Et qui malgré tout consultent car ils en crevent de mal être et de mensonge/ignorance... Il faut dire qu'un objet sorti de l'usine couple/famille n'a rien besoin de savoir, il a un père "chaine de montage" et une mère "haut fourneau" (avec jeu de mots ) mais de quoi se plaint-il ???
Devenir parents, père ou mère est un choix, une décision, mais qui n'aboutit pas toujours... et surtout un engagement pour un certain nombre d'années voire émotionnellement, affectivement parfois toute une vie... ou pas !
Chacun doit avoir ce choix sans être condamné systématiquement et sur le moyen tout comme sur le refus, or qu'on produise charnellement, qu'on adopte, accompagne un temps, éduque, crée dans la chair ou autrement, n'est pas le problème de fond, car on transmet toujours, et on s'imprime chez l'autre.
Le problème de fond est ailleurs; dans notre histoire les autorités qui nous dirigent civilement ou réligieusement ont reçus de nous (ou des peuples) ou on volé le droit d'autorisé, d'encourager certains à avoir des enfants et d'interdire à d'autres, en les castrants, stérilisants physiquement, spirituellement, hors nous avons naturellement ces pouvoirs là, inutile d'intervenir toujours en plus, bien des parents vivent aussi dans l'illusion que mettre au monde un enfant implique qu'il aura un enfant qui lui même etc..., non, ce n'est pas ainsi la réalité, et pas besoin d'avoir une séxualité ou un comportement estimé "hors norme"...
N'a d'enfant que celui ou celle qui fait en sorte d'en avoir, déjà... et cela passe aussi par un tier équipé pour, en général humain ordinaire ou scientifique, technicien... et bien d'autres conditions indépendantes de la volonté de beaucoup, mais il n'y a absolument aucune obligation, demandez aux Pandas, ils vous le dirons, ça parait simple mais ça ne l'est pas... si naturel !
Tu dis comme nous tous, parce que c'est devenu habituel, "Faire, avoir, désirer..." un enfant rien que les mots déjà en disent long sur le pouvoir qu'on s'arroge, alors le "faire" (fabriquer, façonner) pour soi ou pour de mauvaises bonnes raisons est selon moi aussi, effectivement une erreur de plus, (personnellement j'ai beaucoup appris de mes erreurs comme de celles des autres, on n'en fini jamais d'apprendre...) mais on découvre aussi c'est surtout une illusion, une croyance de plus et avant tout...
Oui, dans bien des cas nous décidons bien de mettre en route un projet d'enfant ou d'adoption, et alors !!! Bien des projets n'aboutissent jamais, c'est donc que nous ne possédons pas la toute puissance et domination sur la chose et dans ce domaine, le second problème réside peut-être dans le fait que mettre au monde est encore une chose terriblement pesante qu'on ne fait pas à la légère tant pour les garçons qui ne peuvent pas, que les filles qui "devraient en théorie" mais ne peuvent ou ne veulent pas toujours...
C'est égoîste au mauvais ou au bon sens du terme (car je ne condamne jamais l'égoïsme totalement il peut être vital) mais en procréant sur cette base, on réduit l'être humain à venir, à un objet de désir, on lui donne avant conception, une valeur souvent très élevée ou basse.... "quel prix/sacrifice êtes vous prêt à mettre pour avoir un enfant..." entend-t-on de plus en plus... On ne donne pas un enfant au monde, à des dieux hypothétiques, à un compagnon de vie, tel une offrande, en récompense, ou on ne s'offre pas un plaisir via un enfant... Comme propose F. Foresti halte aux illusions, tout en dédramatisant !
Je ne suis pas non plus pour qu'on monnaie un utérus comme un distributeur de boissons, ou alors laissons les autres parties du corps continuer à l'être en ce sens et là aussi y'aurais beaucoup à dire...
En même temps, et pour repondre à la question initiale, il faut aussi rester circonspecte, on peut changer d'avis, ceux qui ne veulent pas, pourront un jour vouloir... dans leur vie et inversement un enfant, rien n'oblige à ce que se soit les siens, mais ce qui dans tous les cas peut conduire à frustrations multiples, doit-on céder à la tentation ou surmonter de se voir refuser ou se refuser la satisfaction d'une demande pulsionnelle ???
Avoir une sexualité gay, bi ou autre éternelle ou passagère, durable ou ponctuelle, selon moi, n'a rien à voir avec la pulsion ou désir d'enfant... C'est une chose strictement personnelle et intime... Certes parfois accentuée par la pression ou non, alentour ou culturelle.
Pour beaucoup gay = stérile (ou devrait l'être) c'est tout aussi absurde pour les lesbiennes ou de penser qu'on est stérile définitivement, il y a des cas de blocages/déblocages qui démontrent le contraire. Ou "qu'un parent gay fabrique un gay."
Je ne sais pas si on pourrait résumer en: désir d'enfant passe par l'esprit, besoin ou réalisation d'enfant passe par les organismes ?
Re: Devenir papa.?!
tl; dr.Chrysé a écrit :Spoiler : :
Franchement, fait un effort de synthèse. C'est un imbouffable tes pavés.
Re: Devenir papa.?!
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Dernière modification par Chrysé le lun. août 20, 2012 12:53 pm, modifié 1 fois.
Re: Devenir papa.?!
Certes, mais disons que tu ne perdrais rien en clarté et en capacité de communication si tu pouvais un aval ou en amont de tes 23 pages, produire un léger résumé/ synthèse pour dire où tu veux en venir.Chrysé a écrit :Mais je le conçois, je n'ai jamais dit le contraire, ni obligé personne, à "bouffé" ce qu'il n'arrive pas à bouffer tout ou partie, il le laisse sur la table pour les autres... chacun pioche, déguste, goûte à son rythme, ou pas, c'est aussi simple.
Pour tout te dire certains autres n'ont pas non plus une écriture aisée pour moi, ici ou comme auteurs en général, ils ne s'expriment pas pour moi, heureusement, mais pour tous, et seulement quelqu'uns lisent, comprennent tout ou pas, où est le problème... Je n'en vois pas.
Ca permettrait aux personnes qui comme moi sont un peu bêbête et se noient à la deuxième ou troisième digression de continuer à suivre
Et puis, ne dit on pas que ce qui se conçoit bien s'exprime clairement ?
Re: Devenir papa.?!
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Re: Devenir papa.?!
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Re: Devenir papa.?!
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