Pour ce qui est de la consomation de drogues et d'alcool, parler disparition de tabou me semble une mauvaise interprétation. Celà peut jouer un rôle, je ne dit pas le contraire, mais les études, notamment celle de brigitte lhommond, montrent plutot que ce sont plutot des comportement à risque ou comportements auto-destructifs. Ils vont souvent avec une mauvaise estime de soi. Si on ne s'estime pas peu importe le risque que l'on prend. L'étude du docteur shelly montre aussi le rapport entre mauvaise estime de soi, actes suicidaires, pratiques sexuelles à risques et accident sur la voie publique.Gotterfdom a écrit :J'ai l'impression qu'il n'y a chez les gays pas de tabous... Drogue, sexe, alcool, tant qu'on se fait plaisir, c'est du positif. Cette attitude a du bon dans certains cotés (décoincés niveau c*ul, souvent plus "fêtards"...) mais a également des côtés pervers (drogues). Peut-on avoir l'un sans l'autre ?