La pilule cancérigène ?
Publié : mer. août 03, 2005 2:22 pm
J'suis bien contente d'être lesbienne !!!!
Le Centre international de recherche sur le cancer (Circ), basé à Lyon (1), vient d'annoncer dans un communiqué que les contraceptifs oestro-progestatifs sont des cancérogènes du groupe 1 – c'est à dire avec le niveau de preuve le plus important –, après un examen complet de la littérature scientifique. Les experts estiment que la pilule contraceptive augmente le risque de cancer du sein, de cancer du col de l'utérus et de celui du foie. En revanche, elle diminue celui de l'ovaire et celui de l'endomètre.
Cette conclusion paraîtra abrupte, voire inconcevable pour les non initiés, dans la mesure où l'idée de l'innocuité totale de la pilule est un dogme difficile à remettre en cause. La contraception orale ayant été l'un des acquis les plus importants pour les femmes du vingtième siècle, il n'est pas question de l'abandonner ni de l'accabler de tous les maux. Ces conclusions pourraient cependant avoir un impact important sur la vie des femmes, en incitant les médecins à arrêter les prescriptions à partir d'un certain âge.
http://www.lefigaro.fr/sciences/2005080 ... tml?155604
Le Centre international de recherche sur le cancer (Circ), basé à Lyon (1), vient d'annoncer dans un communiqué que les contraceptifs oestro-progestatifs sont des cancérogènes du groupe 1 – c'est à dire avec le niveau de preuve le plus important –, après un examen complet de la littérature scientifique. Les experts estiment que la pilule contraceptive augmente le risque de cancer du sein, de cancer du col de l'utérus et de celui du foie. En revanche, elle diminue celui de l'ovaire et celui de l'endomètre.
Cette conclusion paraîtra abrupte, voire inconcevable pour les non initiés, dans la mesure où l'idée de l'innocuité totale de la pilule est un dogme difficile à remettre en cause. La contraception orale ayant été l'un des acquis les plus importants pour les femmes du vingtième siècle, il n'est pas question de l'abandonner ni de l'accabler de tous les maux. Ces conclusions pourraient cependant avoir un impact important sur la vie des femmes, en incitant les médecins à arrêter les prescriptions à partir d'un certain âge.
http://www.lefigaro.fr/sciences/2005080 ... tml?155604