Les coûts des programmes des candidats
Ils pourraient pas mettre le total des candidats plutôt que de faire tout proposition par proposition ? Perso j'ai la flemme de faire le calcul... Et puis qu'est-ce que je m'en tape ce que ça va coûter au pays, jusqu'à présent j'ai pas vu les conséquences de la dette publique sur les citoyens... C'est encore une fois un faux problème cette histoire...
Euh tu sais que pratiquement l'integralité des revenus généré par l'impot sur le revenu sert à fincancer les interets de cette dette ? Dette qui s'eleve à plus de 1000 Milliards d'euro (soit environ 17 000 € par citoyens Français)Xeric a écrit :Et puis qu'est-ce que je m'en tape ce que ça va coûter au pays, jusqu'à présent j'ai pas vu les conséquences de la dette publique sur les citoyens... C'est encore une fois un faux problème cette histoire...
Si l'on reussit à reduire la dette on reduit par la même occasion les interets et on augmente donc l'argent disponible soit pour baisser les impots soit pour financer des plans sociaux ou des choses comme ça.
Je ne vois vraiment pas en quoi c'est un faux problème, bien au contraire... Plus la dette se creuse, plus les interets augmentent et plus la marge de manoeuvres du gouvernement est faible...
Dernière modification par -Lucas- le jeu. avr. 19, 2007 11:21 pm, modifié 1 fois.
Au sujet de la dette, on n'a trop souvent une vision purement négative de la dette. Combien de gens savent, par exemple, que sans les dettes colossales des pays développés, il ne pourrait pas y avoir de marché financier (puisque les différents bons du trésor nationaux sont à la fois des indices de référence et des valeurs refuge) et donc, indirectement, pas de moyens de financement des grandes entreprises.
De plus, dans l'absolu le problème n'est pas le montant de la dette en soit mais bien plus la façon dont on la gère. Et à ce niveau là au moins, la France est exemplaire puisqu'elle est un des pays dont la dette est la plus liquide, c'est à dire la moins couteuse.
Enfin, et en rapport avec ce qui à été dis précédemment, l’évolution des taux à au moins autant d’importance dans l’évolution du cout de la dette que celle du déficit public.
Pour en revenir au thème principal, toues ces pseudos estimations de couts des programmes me semble une aberration. Le nombre de variable est bien trop important et comment mettre sur la même échelle des dépenses qui généreront des richesses plus tard, par exemple celles de l’enseignement supérieur et celles qui n’auront aucune incidence positive sur l’évolution du PIB dans le futur, comme par exemple les dépenses réalisées pour la construction de prisons.
De plus, dans l'absolu le problème n'est pas le montant de la dette en soit mais bien plus la façon dont on la gère. Et à ce niveau là au moins, la France est exemplaire puisqu'elle est un des pays dont la dette est la plus liquide, c'est à dire la moins couteuse.
Enfin, et en rapport avec ce qui à été dis précédemment, l’évolution des taux à au moins autant d’importance dans l’évolution du cout de la dette que celle du déficit public.
Pour en revenir au thème principal, toues ces pseudos estimations de couts des programmes me semble une aberration. Le nombre de variable est bien trop important et comment mettre sur la même échelle des dépenses qui généreront des richesses plus tard, par exemple celles de l’enseignement supérieur et celles qui n’auront aucune incidence positive sur l’évolution du PIB dans le futur, comme par exemple les dépenses réalisées pour la construction de prisons.
Oui, l'immobilisme, c'est pas cher! lolXeric a écrit :Encore pour Bayrou le calcul est rapide, mais pour Ségo et Sarko c'est assez long oO
N'empêche qu'autoriser le mariage homo, autoriser l'adoption par les coules homos, autoriser la procréation médicalement assistée pour les couples de lesbiennes, ça coûte 0 Euro, mais Bayrou dit non!
Je ne regarde pas seulement les côuts des programmes, mais d'abord et avant tout, le fond (en prenant en compte, entre autres choses, le respect des Droits de l'homme...)