Je crois que j'ai trouvé la solution, après avoir cogité longtemps sur cette fameuse quantité de sel à ingérer par le futur papa pour avoir un mâle à la sortie : tapez au moins 3x sur la salière pour être sûr de ne pas faire les choses à moitié. Au cas ou vous auriez plus de 50% des trous obstrués, doublez la quantité d'accoups lors de la manipulation.
Attention danger pour vos rêves de descendance nombreuse : ma future étude, dont le draft est quasiment prêt pour l'envoi à Science, stipule qu'en cas de quantité de chlorure de sodium insuffisante versée sur les aliments, particulièrement s'il ne s'agit pas de sel marin dont le pouvoir hétérosexuelogène est largement supérieur et dont la pureté peut être garantie par votre assurance-tous-risques, le coming-out sera plus ou moins relativement totalement inéxorable au temps T_rapport + 9 mois + T_incub, T_incub étant F(Q_sel + A_capitaine).
Merci, pas de flash... je me réjouis déjà de mon futur prix nobel...
l'homosexualité se décide dans l'utérus...
Pas exactement. A ma connaissance (mes études de civilisation greque remontent à loin...) c'était justement plutôt mal vu d'être exclusivement homo. Il y avait des rites de passage entre jeune adulte (en général) et ado, mais il était de bon ton de se marier, même si à côté on avait des aventures homosexuelles ponctuelles.Gal-El a écrit :tipoune a écrit : Vouais, c'est vrai ça, en temps de la Gréce antique, tlm était pédé...
Je crois que l'église qui était plutot très contre les philosophes & scientifiques antiques (qui avaient dit, entre autres que la terre était ronde, horreur!) a participé à cette image de Grèce antique décadente : tous pds et obsédés sexuels etc...
En ce qui concerne l'étude en question, je suis totalement d'accord avec Tipoune ! rien à battre, on s'en fout