Je passe et vous informe que ma réponse sera tardive car là, il faut que je parte.
A bientôt donc.
EDIT :
moniiique a écrit :pour reprendre ton argument de la fois dernière, si c'est moi que tu vises en m'enjoignant à trainer mon cul dans des assemblées de gauche j'ôte le doigt d'honneur, c'est malpoli, mais je garde le "tu ne me connais pas, donc évite de juger d'office que je n'en ai rien à secouer".
Ce n'est pas toi que je visais en particulier, mais tu fais bien d'en parler, car j'aurai effectivement pu mieux formuler mon phrasé.
Mon discours est principalement alimenté par une frustration personnelle : le manque de panache dans l'information (l'information que l'on va soi même chercher) chez les gens, surtout chez mes acolytes jeunes, ce que je déplore beaucoup.
SECONDE EDITION :
moniiique a écrit :Pour le coup excuse moi du peu mais je n'ai pas l'impression que Jospin ait eu beaucoup à cœur de conscientiser les masses quand il était à la tête du gouvernement.
Jospin a aussi privatisé France Télécom. Si on commence à chercher le parcours parfait, je pense que nous n'aurons personne pour qui voter. Ce n'est pas ça qui m'intéresse, mais je ne vois pas le vote comme "élisons le fruit le moins pourri" pour autant.
Et Jospin manque au décor politique, tout comme Gremetz que l'on a sali, caricatures sur caricatures.
moniiique a écrit :Pas plus que Mitterrand pendant ses mandats de président. Certes Mitterrand a dû se coltiner un gouvernement de droite pendant la fin de ses deux septennats, mais les périodes pré cohabitation ne lui ont certainement pas servi à raviver la conscience politique de l'électeur moyen.
Ce n'est pas au président de raviver la conscience, en tout cas, pas par ses propres discours. Pour cela, l'école serait bien mieux placée... on a des cours d'éducation civique et nous avons frôlé d'avoir des cours de moralité (Sarkozy) alors après l'absurdité de ce dernier cours, pourquoi ne pourrais t'on pas accorder au programme scolaire des cours politiques ?
Bien sûr, il ne faut pas compter sur l'actuel gouvernement pour cela, ce n'est qu'une idée... mais une idée qui n'a rien d'irréaliste, après tout.
Pepps a écrit :Ô oui, Gauche, sauves-nous.
C'est merveilleux de voir ta grande croyance en la Gauche et de voir en elle notre sauveur. Seulement on peut être contre la droite (et on ne va pas s'étaler sur les pourquoi du comment) ET être contre la gauche.
Tu vois en la gauche la promesse d'un avenir meilleur, beau et tout rose dans lequel tout sera bien. Grand bien t'en fasse mais on ne pense pas tous ça. Parce que merdouillasse, il y a de quoi être déçu.
C'est quoi cette caricature ? Tu grossis mes traits.
J'ai envie de ce qu'il y a de plus juste pour notre pays, point barre.
Et ce qu'il y a de mieux, ce n'est pas la droite, et c'est indéniable. Ce n'est pas avec la descendance idéologique des royalistes que l'on va améliorer mes choses et d'ailleurs, qu'est ce qui a été amélioré depuis que la droite est ici ?
Quelques miettes plus goûteuses pour une montagne de merde.
Pepps a écrit :Alors certains n'iront pas voter et franchement ça t'énerve parce que du coup ceux en qui tu portes ton espoir ne seront pas élu. C'est moche.
Non, les gens qui ne votent pas m'énervent parce que c'est irresponsable, c'est tout.
Surtout qu'ils se plaignent du système, en général, et j'ai toujours pensé (merci môman) que ceux qui ne votent pas n'ont pas à gémir et n'ont que le droit de fermer leur gueule.
Un peu de dignité et d'honnêteté, s'il vous plait.
Exception faites à ceux qui n'ont pas le droit de voter, évidement !
Et aux courants anarchistes aussi, puisqu'ils ont été évoqués et qu'on ne pense pas forcément à les citer, tant leurs cris sont étouffés.
Pepps a écrit :Mais certains iront voter et participeront au grand jeu des élections du pion de la nation qui continuera de perpétuer un système qui ne cesse de pourrir et agiront contre les espoirs de ceux qui crient "Assez !" et veulent voir émerger une autre façon de faire, de penser, bref un tout autre système. C'est moche.
Faudrait tâcher d'écrire plus clairement, ce passage est trop obscur pour que j'y réponde.
Je te dis ça avant de partir pour ne pas te laisser une impression qui cette fois ci n'était volontaire. Une maladresse de ma part.
A tout à l'heure.