2012 : une élection en pleines vacances scolaires ?

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pheukiou
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Re: 2012 : une élection en pleines vacances scolaires ?

Message par pheukiou »

Manchette a écrit :En Grèce, où le vote est obligatoire, on ne peut pas dire que la gauche fasse des miracles pour le peuple, non ?
En grèce, la gauche et la droite ne sont pas DU TOUT les mêmes qu'en France.
On ne peut pas comparer deux cultures lorsqu'elles ne se rejoignent pas sur l'objet du débat, à savoir la gauche et la droite.

C'est un discours facile et, de plus, inapproprié.

Je ne répond pas au reste, car je me suis déjà exprimé là dessus... sur cette énormité que de "militer" PAR l'abstention aux urnes. Pour moi, c'est tout simplement laisser aux autres le soin de diriger. Et c'est bien le cas, puisque nous somme une république dans laquelle il faut bel et bien voter pour participer à la direction à prendre.

Si l'on changeait de structure, ok, mais là, non, je suis désolé, mais je trouve ni intelligent ni militant que de ne pas aller voter.
Kefka
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Re: 2012 : une élection en pleines vacances scolaires ?

Message par Kefka »

OFF-Topic :
Concernant l'éducation à la politique, je crains fort que ce ne soit qu'une solution de surface, qui échouera par manque de véritable analyse des causes structurelles et conjoncturelles de l'échec de l'Ecole républicaine (avec toutes les majuscules possibles). Ce genre de solution ressemble beaucoup à un bout de sparadra collé sur une fracture ouverte : inutile car inadapté au véritable problème (enfin, ce que j'ai identifié comme étant problématique, hein).
Manchette
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Re: 2012 : une élection en pleines vacances scolaires ?

Message par Manchette »

C'est un discours facile et, de plus, inapproprié.
En quoi est-il facile ? Je pars des faits. Et en quoi serait-il inapproprié ? La Grèce est déjà exsangue, et les diafoirus veulent une nouvelle saignée.
Enfin, le parti socialiste grec est membre du PSE : il a donc bien des choses à voir avec ses homologues, non ?

Quant au vote, il me semble que l'on a acquis bien plus de progrès sociaux avec les grèves, y compris avec des gouvernements qui n'avaient pas une image particulièrement progressiste (Pompidou en 68).
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