Vi venvie a écrit :Moi je ne mange que Bio, et ne bois pas l'eau du robinet.
Plus ça va, plus j'en apprends sur le monde agricole et industriel de la bouffe et plus je suis archi convaincu de l'absurdité de ce système de culture, ( phyto sanitaire chimique) qui appauvri la terre d'une part et rend donc les légumes et les céréales moins riche en tout, oligo éléments, vitamines et la preuve en est leur gouts, incipides...
Si tu avais lu plus haut ce qui a déjà été écrit, tu aurais vu que contrairement à ton intuition, la terre en culture bio s'appauvrie plus vite que la terre en agriculture qui utilise des phytosanitaire. mais ce serait trop d'effort pour toi, hein.
Vi venvie a écrit :D'autre part cela rend les individus moins résistant aux infections bénignes et potentiellement, déclenches et aggraves les maladies dont les personnes ont un gène dormant, qui je pense se déclenchent plus favorablement par une alimentation pauvre, transformée et remplies de produits phytosanitaire, qui demande au corps des combats incessants pour rétablir sa pureté originelle.
La pureté originelle du corps
Et après tu essaie encore de nous faire croire que c'est pas de l'ordre de la croyance, ce que tu racontes.
Tu affirmes donc que le corps est moins résistant aux infections bénignes. Où sont tes preuves ?
Tu affirme donc qu'un "gène dormant se déclenche plus favorablement" : outre le fait que d'un point de vue de la biologie, cette phrase n'a même pas de sens, quelles seraient tes sources ?
Tu affirmes que le corps "combat pour retrouver sa pureté originelle" : là encore, sur quoi tu te base (mise à part ton instinct) pour poser cette affirmation ?
Tu affirme qu'il existerait un état de pureté originelle : là encore : sur quoi tu te bases ? Que mets tu sous ce terme ? Comment tu classe le pur et l'impur ?
Vi venvie a écrit :Le corps perd sa force d'année en année car trop de pollution l'encrasse et le rende incontrôlable pour lui même, d'ou l'arrivée et l'explosion depuis 20 ans, des maladies neurologiques comme la sclérose en plaque, l’Alzheimer etc etc, sans parler des cancer dont le diagnostique a doublé en 20 ans en France.
1/tu affirme que alzheimer et la sclerose en plaque sont provoqués par la pollution. Montre moi des études scientifiques qui vont dans ce sens.
2/ Le diagnostique des cancers en France a doublé entre 1980 et 2001. Oui, c'est vrai. La source est là.
INVS
Mais si tu vois le paragraphe qui suit tu en vois les causes :
Le nombre de nouveaux cas de cancers a considérablement augmenté entre 1980 et 2012 chez l’homme comme chez la femme (respectivement +107,6 % et +111,4 %). Cette augmentation s’explique en grande partie par l’accroissement de la population, qui mécaniquement augmente le nombre de cas, et par son vieillissement, la majorité des cas survenant chez les sujets âgés. Ainsi, chez l’homme, l’augmentation s’explique à hauteur de 30,8 % par l’accroissement de la population et à hauteur de 33,7 % par son vieillissement. Chez la femme, les chiffres sont respectivement de 33,8 % et 22,5 %. Le reste de la hausse du nombre de cas, soit 43,1 % chez l’homme et 55,1 % chez la femme, s’explique par l’augmentation de la probabilité d’être diagnostiqué avec un cancer, notamment en raison de l’évolution de l’exposition aux facteurs de risque et des modifications intervenues dans les méthodes diagnostiques.
Concernant la mortalité, entre 1980 et 2012, le nombre de décès par cancer a augmenté de 11 % chez l’homme et de 20,3 % chez la femme. Cette hausse est attribuable à l’évolution démographique (augmentation et vieillissement de la population) alors que le risque de décéder a diminué notablement, la diminution étant plus marquée chez l’homme.
Pour comparer les données de mortalité ou d’incidence d’une période à une autre ou d’un pays à l’autre, on ne peut pas se contenter d’observer le nombre de décès ou de nouveaux cas. Il faut en effet s’affranchir des effets liés à l’augmentation de la population et à son vieillissement. On y parvient en calculant le « taux standardisé » qui neutralise ces deux facteurs.
Ainsi, entre 1980 et 2012, on observe une augmentation du taux d’incidence (standardisé sur la population mondiale) de 27,9 % chez l’homme et de 42,9 % chez la femme, soit environ 1 % par an (en moyenne +0,8 % par an chez l’homme et +1,1 % chez la femme). Cette hausse résulte, en partie, d’une meilleure détection des cancers, ce qui entraîne une augmentation du nombre de cas diagnostiqués, ainsi que d’une augmentation du risque de cancer, même si ce dernier n’a augmenté que de façon plus modeste.
Toutefois cette tendance s’inverse depuis 2005, avec une diminution du taux d’incidence chez l’homme (en moyenne -1,3 % par an) et un ralentissement de l’augmentation de ce taux chez la femme (en moyenne +0,2 % par an). On note ainsi, d’une part, une tendance à la baisse de l’incidence des cancers du sein et de la prostate depuis 2005 et, d’autre part, une stabilité de l’incidence de certains cancers (côlon-rectum et poumon chez les hommes).
Concernant le cancer du sein, un facteur important de cette baisse de l’incidence depuis 2005 pourrait être la diminution de la prescription de traitements hormonaux de la ménopause ou de leur durée. L’arrêt de la montée en puissance du dépistage peut également être évoqué.
Pour le cancer de la prostate, on constate de 2000 à 2005 une forte augmentation du nombre de nouveaux cas induite par l’intensification de la détection de ce cancer par le dosage sérique du PSA (Antigène spécifique de la prostate). Cette augmentation est d’autant plus importante que la pratique s’est rapidement répandue, induisant un "phénomène de rattrapage", c’est-à-dire le diagnostic d’un nombre important de cas chez des personnes qui n’avaient pas précédemment fait l’objet de cette détection. A partir de 2005, une baisse brutale de l’incidence est observée Elle correspond à la conjonction de deux phénomènes : l’un épidémiologique, qui est lié au fait qu’après plusieurs années de détection par le dosage du PSA, une partie des cancers prévalents sont diagnostiqués ; l’autre sociale, qui résulte de la prise de conscience d’un risque de "sur-diagnostic" par les soignants et la population, ce qui incite à la prudence vis-à-vis du dépistage2.
En résumé :
- augmentation de la population
- vieillissement de la population
- amélioration des techniques de diagnostiques
Vi venvie a écrit :Le problème des produits traités sur le plan phytosanitaire, c'est qu'il sont d'une presque totale innocuité pris individuellement, ce que prouve toutes les études qui permettent de les mettre sur les marchés.
Mais pris ensemble ils sont une bombe a retardement pour le corps qui reçoit trop d'intoxication tout le temps, que cela soit par la nourriture, l'air, les dentifrices, les parfums et autre crème de soins mises sur le corps, les émanations des produits d'entretient de la maison, les amalgames dentaire au mercure, l'eau du robinet qui contient des traces surtout dans les grande ville de médicaments, hormone féminine, fluor, javel, les peintures ou colles des meubles qui libères des toxiques reconnues etc etc. Si tu mets bout a bout, tout cela, et je ne parle pas des ondes électromagnétiques, et tu rajoutes un peu du stress de dingue dans lequel ont vit tous aujourd'hui.
Tu n'as pas la moindres preuve de ce que tu avances ! Et je ne parle même pas de la toxicité du dentifrice qui ma fait mourir de rire.
Vi venvie a écrit :Il est donc évidement normal a mes yeux que l'ont en devienne fatigué, déprimé, malade a terme. Tient est ce que c'est comme par hasard qu'on est en France les champions du monde de l'utilisation des engrais chimique avec les américains, des insecticides, mais aussi de l'utilisation des anxiolytiques et antidépresseur.
1/ D'où sortent tes chiffres sur les rangs mondiaux de la France ?
2/ Corrélation n'est pas causalité : trouves moi une étude qui ferait un lien causale entre prise d'antidépresseur et insecticides. Tu ne peux juste affirmer un truc comme si c'était un fait parce que "dans ta tête ça à l'air logique". C'est ta croyance, pas un fait établi.
Vi venvie a écrit :En plus comme si ça ne suffisait pas ont est aussi les champion du monde de la prescription d'antibiotiques qui tue les bactéries du biote intestinal, des bonnes comme des mauvaises bactéries. Or on sait aujourd'hui l'aspect essentielle dans toutes les maladies y compris mentales de la santé du biote intestinal. Sans parler de l’épigénétique... pffff comment ne pas être malade en fait ???
Corrélation (et encore elle même reste à prouver : sources ?) n'est pas causalité.
Tu affirmes que
1/ La France est le premier prescripteur d'antibios au monde : faux, elle se place au quatrième rang européen
selon cet article) et a baissé de 16% en 10 ans (
cette étude)
2/ Tu affirmes qu'ils tuent la flore intestinale. Vrai et faux. Ils n'ont pas tous le même impacte, la péniciline par exemple est peu toxique sur ce plan. Ensuite, tu ne parles pas du temps durant lequel cet effet à lieu, puisque la flore intestinale se reconstitue en quelques semaines après la fin du traitement.
3/ Tu affirmes qu'une flore intestinale abimée est responsable de maladies mentales, et c'est une affirmation que tu sors magistralement de ton cul sans preuve aucune.
Vi venvie a écrit :Donc manger bio c'est juste limiter au maximum ce que tu peux limiter de toxique externe,
Uniquement si tu considères que seuls les phytosanitaires sont toxiques pour l'homme et que les parasites, microbes, bactéries et champignons présents sur les légumes non-traités ne sont pas des toxines. Ce qui est faux.
Vi venvie a écrit :Au fait si quelqu'un pouvait me dire comment on fait pour citer quelqu'un, cela m'arrangerais bien ?
Bref, tu ne fais qu'affirmer tes croyance comme si c'était des faits en utilisant des bribes d'études sorties de leurs contextes et que tu utilise à contre sens de ce qu'elles disent vraiment.
C'est stupide et malhonnête et ON A DÉJÀ RÉPONDU À TOUT CA AVANT.