là je dis HAUT et FORT...
ARRETONS D'ETRE C** !
Les femmes plus bêtes que les hommes ?
il dit pas si les africaines blondes ont un QI inférieur?
non sérieusement je ne comprend même pas comment ce type peut etre publié... à moins que de telles contreverses permettent de mieux faire vendre son article, puis son livre...
bref espèrons qu'il ne soit pas publié point final (j'aimerais bien que sa mère lui foute une bonne grosse baffe c'est pas permi de dire des conneries comme ça)
non sérieusement je ne comprend même pas comment ce type peut etre publié... à moins que de telles contreverses permettent de mieux faire vendre son article, puis son livre...
bref espèrons qu'il ne soit pas publié point final (j'aimerais bien que sa mère lui foute une bonne grosse baffe c'est pas permi de dire des conneries comme ça)
-
Pickel Fresse
- Messages : 297
- Inscription : sam. juil. 23, 2005 6:24 pm
et moi j'leur pisse à la raie 
-
anchois-man
- Messages : 1706
- Inscription : ven. juil. 01, 2005 11:48 am
-
Pickel Fresse
- Messages : 297
- Inscription : sam. juil. 23, 2005 6:24 pm
-
anchois-man
- Messages : 1706
- Inscription : ven. juil. 01, 2005 11:48 am
Les femmes plus bêtes que les hommes ?
Lu sur nouvo.ch
Intox Après les Blancs plus intelligents que les Noirs, c'est le tour des hommes d'être plus brillants que les femmes. Voici la nouvelle frasque de Richard Lynn, scientifique controversé et abonné aux coups d'éclat médiatiques.
Pour Richard Lynn, professeur émérite de l'Université d'Ulster, l'explication est mathématique. «Le cerveau de l'homme est plus grand de 10% que celui de la femme. Une plus grande taille cérébrale confère une puissance plus importante. Donc, en moyenne, les hommes doivent nécessairement être plus intelligents que les femmes.» Cette démonstration qui frise le syllogisme figure noir sur blanc dans une publicité écrite à sa gloire, dans laquelle il annonce la parution de son article en novembre.
Les médias anglo-saxons se sont rués sur la «révélation». Lynn, un habitué de ce genre d'éclat médiatique, leur a d'ailleurs facilité la tâche à coup de formulations provocatrices. Dans les années 90, il avait déjà défrayé la chronique après avoir affirmé et «démontré», chiffres à l'appui, que le QI des Noirs est inférieur à celui des Blancs. Il recommence, cette fois avec les femmes. De quoi faire monter les chercheurs les plus tolérants au créneau.
«C'est n'importe quoi», s'énervent la plupart des scientifiques travaillant dans le domaine de l'intelligence. «On n'a jamais démontré de lien entre la taille du cerveau et le quotient intellectuel, s'exclame Catherine Vidal, neurobiologiste à l'Institut Pasteur de Paris. J'aimerais savoir ce que Lynn dit d'Einstein, dont le cerveau pesait 1215 grammes, soit donc 135 grammes de moins que la moyenne!»
En réalité, Richard Lynn a eu exactement ce qu'il voulait: un battage médiatique avant même la parution de son article. «C'est un énorme coup de pub pour rien», commente Catherine Vidal. Certains diront qu'en tant que femme, elle n'est pas apte à juger de la validité des résultats. Qu'elle retourne donc à ses casseroles. Pourtant, les spécialistes sont unanimes: il n'y a rien de fondamentalement neuf dans cette étude. «Ça fait au moins dix ans que Lynn ressasse les même histoires», fait remarquer Michel Duyme, chercheur au CNRS.
Des pieds et des mains Richard Lynn est un personnage énigmatique et contesté. En Suisse, ses collègues le qualifient de «pop psychologist», de «démagogue» ou de «psychologue de bistrot». «Il fait tester le QI de tout le monde et n'importe qui», s'indigne Pascal Gygax, du département de psychologie de l'Université de Fribourg. Avant de poursuivre, assassin: «Il y a deux façons d'être connu: faire du bon travail ou faire un travail que tout le monde déteste.» Le chercheur à la retraite a apparemment choisi la seconde option. Il est réputé pour ses prises de position idéologiques fortes et affirmées.
En 1991, il publie dans un livre que le QI moyen en Afrique noire serait de 70 (alors que l'intelligence moyenne se situe à 100). Sauf que, comme le rapporte le journaliste Claus-Peter Sesín dans la revue GEO, Lynn a omis de préciser que lors des tests de QI, les consignes furent données avec les pieds et les mains, car les chercheurs ne maîtrisaient pas la langue locale. «Lynn est classé dans le courant héréditariste et raciste», précise Michel Duyme. Il fait partie de ces scientifiques qui cherchent à montrer que la réalité sociale reflète un état génétique incontestable.
Question de méthodologie «Richard Lynn opère par glissements, tout en subtilité», analyse Michel Duyme, après avoir lu la publication. De nombreux spécialistes qualifient l'interprétation des résultats d'«abusive». Le biologiste français pointe, en plus, une faiblesse de l'article: «On n'a aucun détail sur l'échantillon étudié par Lynn. Ces personnes sont-elles représentatives de la population dans son ensemble ?» Avant de poursuivre: «Sa méthodologie sur les grands échantillons est bien souvent biaisée».
Le psychologue anglais suit toujours la même démarche. Partir sur un préjugé et collecter des chiffres qui fondent «scientifiquement» son idéologie. Dans le même esprit que cette présente étude, Michel Duyme avait été contacté par son collègue Lynn dans les années 90 lorsque ce dernier voulait, semble-t-il, démontrer que le QI des Maghrébins est inférieur à celui des Français «pure souche»… Une question demeure: existe-t-il une différence de QI entre les personnes honnêtes et sincères et celles qui sont prêtes à tout pour que l'on parle d'elles ?
Intox Après les Blancs plus intelligents que les Noirs, c'est le tour des hommes d'être plus brillants que les femmes. Voici la nouvelle frasque de Richard Lynn, scientifique controversé et abonné aux coups d'éclat médiatiques.
Pour Richard Lynn, professeur émérite de l'Université d'Ulster, l'explication est mathématique. «Le cerveau de l'homme est plus grand de 10% que celui de la femme. Une plus grande taille cérébrale confère une puissance plus importante. Donc, en moyenne, les hommes doivent nécessairement être plus intelligents que les femmes.» Cette démonstration qui frise le syllogisme figure noir sur blanc dans une publicité écrite à sa gloire, dans laquelle il annonce la parution de son article en novembre.
Les médias anglo-saxons se sont rués sur la «révélation». Lynn, un habitué de ce genre d'éclat médiatique, leur a d'ailleurs facilité la tâche à coup de formulations provocatrices. Dans les années 90, il avait déjà défrayé la chronique après avoir affirmé et «démontré», chiffres à l'appui, que le QI des Noirs est inférieur à celui des Blancs. Il recommence, cette fois avec les femmes. De quoi faire monter les chercheurs les plus tolérants au créneau.
«C'est n'importe quoi», s'énervent la plupart des scientifiques travaillant dans le domaine de l'intelligence. «On n'a jamais démontré de lien entre la taille du cerveau et le quotient intellectuel, s'exclame Catherine Vidal, neurobiologiste à l'Institut Pasteur de Paris. J'aimerais savoir ce que Lynn dit d'Einstein, dont le cerveau pesait 1215 grammes, soit donc 135 grammes de moins que la moyenne!»
En réalité, Richard Lynn a eu exactement ce qu'il voulait: un battage médiatique avant même la parution de son article. «C'est un énorme coup de pub pour rien», commente Catherine Vidal. Certains diront qu'en tant que femme, elle n'est pas apte à juger de la validité des résultats. Qu'elle retourne donc à ses casseroles. Pourtant, les spécialistes sont unanimes: il n'y a rien de fondamentalement neuf dans cette étude. «Ça fait au moins dix ans que Lynn ressasse les même histoires», fait remarquer Michel Duyme, chercheur au CNRS.
Des pieds et des mains Richard Lynn est un personnage énigmatique et contesté. En Suisse, ses collègues le qualifient de «pop psychologist», de «démagogue» ou de «psychologue de bistrot». «Il fait tester le QI de tout le monde et n'importe qui», s'indigne Pascal Gygax, du département de psychologie de l'Université de Fribourg. Avant de poursuivre, assassin: «Il y a deux façons d'être connu: faire du bon travail ou faire un travail que tout le monde déteste.» Le chercheur à la retraite a apparemment choisi la seconde option. Il est réputé pour ses prises de position idéologiques fortes et affirmées.
En 1991, il publie dans un livre que le QI moyen en Afrique noire serait de 70 (alors que l'intelligence moyenne se situe à 100). Sauf que, comme le rapporte le journaliste Claus-Peter Sesín dans la revue GEO, Lynn a omis de préciser que lors des tests de QI, les consignes furent données avec les pieds et les mains, car les chercheurs ne maîtrisaient pas la langue locale. «Lynn est classé dans le courant héréditariste et raciste», précise Michel Duyme. Il fait partie de ces scientifiques qui cherchent à montrer que la réalité sociale reflète un état génétique incontestable.
Question de méthodologie «Richard Lynn opère par glissements, tout en subtilité», analyse Michel Duyme, après avoir lu la publication. De nombreux spécialistes qualifient l'interprétation des résultats d'«abusive». Le biologiste français pointe, en plus, une faiblesse de l'article: «On n'a aucun détail sur l'échantillon étudié par Lynn. Ces personnes sont-elles représentatives de la population dans son ensemble ?» Avant de poursuivre: «Sa méthodologie sur les grands échantillons est bien souvent biaisée».
Le psychologue anglais suit toujours la même démarche. Partir sur un préjugé et collecter des chiffres qui fondent «scientifiquement» son idéologie. Dans le même esprit que cette présente étude, Michel Duyme avait été contacté par son collègue Lynn dans les années 90 lorsque ce dernier voulait, semble-t-il, démontrer que le QI des Maghrébins est inférieur à celui des Français «pure souche»… Une question demeure: existe-t-il une différence de QI entre les personnes honnêtes et sincères et celles qui sont prêtes à tout pour que l'on parle d'elles ?