On en revient au suivi par le mèdecin de famille.Kefka a écrit : Dès lors, si des événements exceptionnels se produisent (comme une maturité sexuelle précoce), c'est au niveau individuel que l'information doit se faire et de préférence chez un médecin qui sera beaucoup plus compétant pour traiter de cette affaire.
Et là c'est le problême de la pauvreté et d'une suffisante couverture sociale qui entrent en jeu pour des visites régulières.
Question un peu hors-sujet ou un peu plus hors-sujet.
Quel est le pourcentage du remboursement d'une visite chez le mèdecin pour le suivi de croissance et autres évènements infantiles et adolescents en dehors d'une maladie en Grande-Bretagne, et hors-mutuel?
Je sais : ma question est un peu trop longue, en même temps je ne sais pas si la requête serait un peu longue sur Google