bi ou hétéro curieuse
Publié : ven. mai 20, 2016 11:24 pm
Bonsoir,
Tout juste inscrite ici, j’avais posté une présentation plus longue mais après avoir un peu parcouru les différentes rubriques, j’ai édité la présentation pour la raccourcir, je pense qu’il est plus approprié de développer ici.
Je me suis toujours considérée comme hétéro, au début de l’adolescence, j’ai commencé à être attirée par les garçons et cela semblait tout naturel. Mais, je n’ai eu mon premier copain que très tardivement donc cette attirance ne s’est pas concrétisée.
Ma première approche dans le domaine affectif s’est fait à l’âge de 18 ans avec une fille. Peu de temps après l’avoir rencontrée, elle s’est montrée quelque peu entreprenante (je pourrais développer sur le contexte mais ça deviendrait très long) bien qu’il ne se soit pas passé grand-chose.
Sur le coup, je n’ai pas réagi, prise par surprise et puis, ce n’était pas si désagréable au fond. Ensuite après réflexion, je me suis dit que je ne voulais pas d’une fille et j’ai vite mis les choses au clair avec la demoiselle. Suite à cela, beaucoup d’interrogations sur mon orientation, ce qui me perturbait était de me définir comme hétéro et d’avoir malgré tout trouvé ce moment agréable. Quelques années plus tard, grâce à une discussions avec une copine lesbienne et des lectures, je me suis rendue compte que l’orientation sexuelle n’était pas toujours claire et que, surtout chez les filles elle peut être plus floue, bref on n’est pas obligé d’être soit totalement homo ou hétéro. Apprendre cela m’a énormément rassuré, je n’étais plus « bizarre » et j’ai pu intégrer cette événement sans que cela ne me pose de problème de cohérence ni ne perturbe cette identité hétéro.
A côté de cet événement, rien de particulier à noter, je n’ai jamais vraiment été attirée par des filles spontanément, bien qu’il me soit déjà arrivé de me poser la question de savoir si telle fille pourrait me plaire ou non. Quelques filles ont plus attirés mon attention, amis cela restait flou, par une attirance marquée come j’ai pu l’avoir avec des garçons.
Mais, rares sont les gars sur qui j’ai vraiment flashés, quelques relations de courtes durée, mais je ne suis pas sûre d’être déjà tombée vraiment amoureuse (mais d’autres facteurs interviennent là-dedans). Et, si je n’ai jamais été directement attirée par une fille, l’idée ne me rebute absolument pas et je me dis que si j’étais à nouveau abordée comme il y a dix ans, s’il y a feeling, je ne dirais peut-être pas non. Ou, peut-être que c’est parce que je reste sur ce bon souvenir avec cette fille et comme il s’agissais d’une première approche je pense que je pourrais apprécier alors que ce n’est peut-être pas le cas. Je ne sais pas.
Parfois je me dis que la seule manière de tirer ça au clair serait d’expérimenter… Mais la question est de savoir si j’ai vraiment envie d’avoir une réponse, parce que cela pourrait encore remettre tout en question et parce qu’aussi, il faut bien l’admettre, la situation d’hétéro est plus confortable à assumer pout tout un tas de raison.
Et, si assumer son homosexualité n’est pas facile, assumer une orientation moins claire l’est encore moins, et je ne sais pas si je parviendrai à l’assumer justement, alors tant que je ne creuse pas, cela permet aux choses de rester à leur place. Mais, étant de nature très curieuse, je n’aime pas les points d’interrogation.
Une autre chose peut-être utile à préciser est que je rencontre quelques difficultés au niveau de la sexualité avec les hommes, donc une autre hypothèse serait qu’avec une fille ça serait plus facile, et si c’est ça, alors ce n’est pas une bonne raison.
Alors voilà, hétéro curieuse et ouverte, bi ou homo qui s’ignore (bien que j’ai des doutes sur cette troisième hypothèse), je suis ici pour tenter de démêler tout ça.
Tout juste inscrite ici, j’avais posté une présentation plus longue mais après avoir un peu parcouru les différentes rubriques, j’ai édité la présentation pour la raccourcir, je pense qu’il est plus approprié de développer ici.
Je me suis toujours considérée comme hétéro, au début de l’adolescence, j’ai commencé à être attirée par les garçons et cela semblait tout naturel. Mais, je n’ai eu mon premier copain que très tardivement donc cette attirance ne s’est pas concrétisée.
Ma première approche dans le domaine affectif s’est fait à l’âge de 18 ans avec une fille. Peu de temps après l’avoir rencontrée, elle s’est montrée quelque peu entreprenante (je pourrais développer sur le contexte mais ça deviendrait très long) bien qu’il ne se soit pas passé grand-chose.
Sur le coup, je n’ai pas réagi, prise par surprise et puis, ce n’était pas si désagréable au fond. Ensuite après réflexion, je me suis dit que je ne voulais pas d’une fille et j’ai vite mis les choses au clair avec la demoiselle. Suite à cela, beaucoup d’interrogations sur mon orientation, ce qui me perturbait était de me définir comme hétéro et d’avoir malgré tout trouvé ce moment agréable. Quelques années plus tard, grâce à une discussions avec une copine lesbienne et des lectures, je me suis rendue compte que l’orientation sexuelle n’était pas toujours claire et que, surtout chez les filles elle peut être plus floue, bref on n’est pas obligé d’être soit totalement homo ou hétéro. Apprendre cela m’a énormément rassuré, je n’étais plus « bizarre » et j’ai pu intégrer cette événement sans que cela ne me pose de problème de cohérence ni ne perturbe cette identité hétéro.
A côté de cet événement, rien de particulier à noter, je n’ai jamais vraiment été attirée par des filles spontanément, bien qu’il me soit déjà arrivé de me poser la question de savoir si telle fille pourrait me plaire ou non. Quelques filles ont plus attirés mon attention, amis cela restait flou, par une attirance marquée come j’ai pu l’avoir avec des garçons.
Mais, rares sont les gars sur qui j’ai vraiment flashés, quelques relations de courtes durée, mais je ne suis pas sûre d’être déjà tombée vraiment amoureuse (mais d’autres facteurs interviennent là-dedans). Et, si je n’ai jamais été directement attirée par une fille, l’idée ne me rebute absolument pas et je me dis que si j’étais à nouveau abordée comme il y a dix ans, s’il y a feeling, je ne dirais peut-être pas non. Ou, peut-être que c’est parce que je reste sur ce bon souvenir avec cette fille et comme il s’agissais d’une première approche je pense que je pourrais apprécier alors que ce n’est peut-être pas le cas. Je ne sais pas.
Parfois je me dis que la seule manière de tirer ça au clair serait d’expérimenter… Mais la question est de savoir si j’ai vraiment envie d’avoir une réponse, parce que cela pourrait encore remettre tout en question et parce qu’aussi, il faut bien l’admettre, la situation d’hétéro est plus confortable à assumer pout tout un tas de raison.
Et, si assumer son homosexualité n’est pas facile, assumer une orientation moins claire l’est encore moins, et je ne sais pas si je parviendrai à l’assumer justement, alors tant que je ne creuse pas, cela permet aux choses de rester à leur place. Mais, étant de nature très curieuse, je n’aime pas les points d’interrogation.
Une autre chose peut-être utile à préciser est que je rencontre quelques difficultés au niveau de la sexualité avec les hommes, donc une autre hypothèse serait qu’avec une fille ça serait plus facile, et si c’est ça, alors ce n’est pas une bonne raison.
Alors voilà, hétéro curieuse et ouverte, bi ou homo qui s’ignore (bien que j’ai des doutes sur cette troisième hypothèse), je suis ici pour tenter de démêler tout ça.