Après les topics sur nos mères et nos pères, je me permets de créer un nouveau topic sur nos frères et nos soeurs, qu'ils soient de sang, demi, par alliance, ou autre configuration. Après tout, ils font autant partie de notre vie que nos parents. Donc, allongez vous sur le divan et parlez nous de votre frère, de votre soeur, ou des deux, tant qu'à faire.
Avez vous des frères et soeurs? Ils sont comment? Sont-ils humains ou viennent-ils d'une autre planète? Quelle genre de relation entretenez vous avec eux? Leur avez vous fait votre coming-out? etc... et tout ce que vous jugerez bon d'ajouter, sur le même principe que les topics sur les parents, expression libre, vous avez deux heures.
Les enfants uniques du forum peuvent bien sûr s'exprimer si ils ont un frère ou une soeur "rêvé" ou quelqu'un dans leur famille qui tient ce rôle.
Divan, paillettes, frangins et frangines
Re: Divan, paillettes, frangins et frangines
Ah voilà, ma soeur je peux en parler. Mes parents je n'y arrive pas. Vraiment. J'ai beau essayé, je trouve pas les mots.
A l'origine, lorsqu'elle avait 4 ans, ma grande soeur voulait un chat. Manque de bol, elle m'a eu moi. Lorsque je suis née, elle disait à sa maitresse que j'étais noire, alors qu'elle avait la peau bien blanche. C'est vous dire si elle a eu peur, la maitresse. Bien plus tard, elle ira même jusqu'à dire à un de ces amis que j'ai été importé d'Iran dans une boite en carton. On a toujours été assez complice même si on se chamaillait très très souvent. Elle, bordélique, moi très rangée, très ordonnée (voui vous avez bien lu). Elle me mettait des culottes sur la tète quand on se déguisait, mais plus petite, il faut dire que j'éternuais sur elle quand elle s'approchait trop près de moi. On faisait des spectacles ensemble, et même des expos de nos dessins dans le couloir. Les vacances en famille, en voiture, aussi, c'était bucolique (des chansons à tue-tète jusqu'à l’énervement de papa en passant par les jeux de sourire aux voitures voisines) !
Je l'ai toujours beaucoup admirée parce qu'elle était très bonne élève, était belle aussi, avait du succès dans les amours, dans les amitiés, et que moi bah... c'était un peu le contraire. A vrai dire, si j'avais le malheur d'être dans la classe d'un prof qu'elle avait déjà eu, j'avais le droit à toutes les remarques du style "ta soeur était moins bavarde", alors que moi j'ai pas entendu ça bizarrement sur elle. Pourtant, je voulais toujours sortir avec elle et ses copines, j'étais la petite chieuse en fait. Ça jusqu'à la fin du collège.
Arrivée après son BAC, elle est partie de la maison, parce qu'on était dans la même chambre et que ça devenait de moins en moins facile. Chacune avait besoin de son espace, et lorsque les deux espaces se frottaient, ça se chamaillait. Je dois avouer aussi que je restais une chieuse trop curieuse (bah voui, ça me vient pas de nulle part le tempérament fouineuse). Quand je dis qu'on se chamaillait, on se laissait même des marques, du style, des points de sutures.
Aujourd'hui, disons que les rôles sont plutôt renversés. Je me suis enfin trouvée une place indépendamment de "la soeur d'untel", je cherche à m'autonomiser, mais c'est elle qui revient souvent. Elle me reproche de ne rien lui raconter et aimerait faire plus de choses avec moi. J'essaie de faire en sorte de lui montrer que je l'aime sans avoir besoin de sortir très souvent avec elle (même si ça ne m'empêche pas d'apprécier sa compagnie de temps en temps), parce que je me rends compte que ça elle le prend mal quand même. Faut dire aussi qu'elle extériorise plus facilement ses émotions, alors que moi je suis plus du genre à tout intérioriser. Elle a tendance a ne pas le comprendre ça. M'enfin, on a beau être soeur, on s'apprivoise, se découvre encore aujourd'hui, et je me trouve très différente d'elle. Elle a même tendance à m'enerver sur certains points de vue (notamment quand je lui ai fais mon coming out d'ailleurs, au passage)
On est né des mêmes parents, on a une plus ou moins même "base" (de valeurs quoi par exemple), mais on a grandi et évolué différemment, et heureusement.
A l'origine, lorsqu'elle avait 4 ans, ma grande soeur voulait un chat. Manque de bol, elle m'a eu moi. Lorsque je suis née, elle disait à sa maitresse que j'étais noire, alors qu'elle avait la peau bien blanche. C'est vous dire si elle a eu peur, la maitresse. Bien plus tard, elle ira même jusqu'à dire à un de ces amis que j'ai été importé d'Iran dans une boite en carton. On a toujours été assez complice même si on se chamaillait très très souvent. Elle, bordélique, moi très rangée, très ordonnée (voui vous avez bien lu). Elle me mettait des culottes sur la tète quand on se déguisait, mais plus petite, il faut dire que j'éternuais sur elle quand elle s'approchait trop près de moi. On faisait des spectacles ensemble, et même des expos de nos dessins dans le couloir. Les vacances en famille, en voiture, aussi, c'était bucolique (des chansons à tue-tète jusqu'à l’énervement de papa en passant par les jeux de sourire aux voitures voisines) !
Je l'ai toujours beaucoup admirée parce qu'elle était très bonne élève, était belle aussi, avait du succès dans les amours, dans les amitiés, et que moi bah... c'était un peu le contraire. A vrai dire, si j'avais le malheur d'être dans la classe d'un prof qu'elle avait déjà eu, j'avais le droit à toutes les remarques du style "ta soeur était moins bavarde", alors que moi j'ai pas entendu ça bizarrement sur elle. Pourtant, je voulais toujours sortir avec elle et ses copines, j'étais la petite chieuse en fait. Ça jusqu'à la fin du collège.
Arrivée après son BAC, elle est partie de la maison, parce qu'on était dans la même chambre et que ça devenait de moins en moins facile. Chacune avait besoin de son espace, et lorsque les deux espaces se frottaient, ça se chamaillait. Je dois avouer aussi que je restais une chieuse trop curieuse (bah voui, ça me vient pas de nulle part le tempérament fouineuse). Quand je dis qu'on se chamaillait, on se laissait même des marques, du style, des points de sutures.
Aujourd'hui, disons que les rôles sont plutôt renversés. Je me suis enfin trouvée une place indépendamment de "la soeur d'untel", je cherche à m'autonomiser, mais c'est elle qui revient souvent. Elle me reproche de ne rien lui raconter et aimerait faire plus de choses avec moi. J'essaie de faire en sorte de lui montrer que je l'aime sans avoir besoin de sortir très souvent avec elle (même si ça ne m'empêche pas d'apprécier sa compagnie de temps en temps), parce que je me rends compte que ça elle le prend mal quand même. Faut dire aussi qu'elle extériorise plus facilement ses émotions, alors que moi je suis plus du genre à tout intérioriser. Elle a tendance a ne pas le comprendre ça. M'enfin, on a beau être soeur, on s'apprivoise, se découvre encore aujourd'hui, et je me trouve très différente d'elle. Elle a même tendance à m'enerver sur certains points de vue (notamment quand je lui ai fais mon coming out d'ailleurs, au passage)
On est né des mêmes parents, on a une plus ou moins même "base" (de valeurs quoi par exemple), mais on a grandi et évolué différemment, et heureusement.
Dernière modification par Erual le lun. mars 26, 2012 6:45 pm, modifié 3 fois.
Re: Divan, paillettes, frangins et frangines
Mon frère ce zéro ! (j’me permets, mais l’inverse est pensé aussi 
)
J’ai un frère, il n’a qu’un an de plus que moi. Brun, les yeux de couleur clair, plutôt bien bâti. Nous n’avons pas grandi ensemble. Les gens nous disent toujours que nous nous ressemblons énormément et je cite : « Xéxé, tu rases tes cheveux nous obtenons ton frère. » C’est un vadrouilleur, un Rebel, un fêtard, un montagnard. Il a un fort, très fort caractère et moi aussi, de ce fait nous nous apprécions mais de loin, chacun sa vie. Nous avons partagé nombres de choses, fêtes, ennuis, humour, amis, etc. Mais nous ne pouvons pas vivre sous le même toit plus de 48 h sans se prendre la tête. Il est impossible de lui faire entendre raison, c’est pourquoi au bout d’un moment je lui laisse le dernier mot, sinon nous irions trop loin.
Mais mine de rien nous ressentons l’un pour l’autre parfois de par nos actions un peu, un tout petit peu de fierté, surtout pour nos conneries, ou là nous tombons directement d’accords. Je dois bien avouer que finalement c’est un type bien, sur qui ses amis peuvent compter, même si parfois il faut le suivre. Je le repecte (même si j'ai du mal à l'avouer) car mon Frère ce zéro est un sacré numéro.
)J’ai un frère, il n’a qu’un an de plus que moi. Brun, les yeux de couleur clair, plutôt bien bâti. Nous n’avons pas grandi ensemble. Les gens nous disent toujours que nous nous ressemblons énormément et je cite : « Xéxé, tu rases tes cheveux nous obtenons ton frère. » C’est un vadrouilleur, un Rebel, un fêtard, un montagnard. Il a un fort, très fort caractère et moi aussi, de ce fait nous nous apprécions mais de loin, chacun sa vie. Nous avons partagé nombres de choses, fêtes, ennuis, humour, amis, etc. Mais nous ne pouvons pas vivre sous le même toit plus de 48 h sans se prendre la tête. Il est impossible de lui faire entendre raison, c’est pourquoi au bout d’un moment je lui laisse le dernier mot, sinon nous irions trop loin.
Mais mine de rien nous ressentons l’un pour l’autre parfois de par nos actions un peu, un tout petit peu de fierté, surtout pour nos conneries, ou là nous tombons directement d’accords. Je dois bien avouer que finalement c’est un type bien, sur qui ses amis peuvent compter, même si parfois il faut le suivre. Je le repecte (même si j'ai du mal à l'avouer) car mon Frère ce zéro est un sacré numéro.
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Re: Divan, paillettes, frangins et frangines
ma soeur 32 ans est très différente de moi elle a l'esprit'' carrée'' et du coup on discute au tel
pas souvent mais le peu sa se passe bien.mon frére 28 ans est un no-life xD très grand-maigre
et qui ne sais pas quoi faire de sa vie mais sa va on s'entend bien.
pas souvent mais le peu sa se passe bien.mon frére 28 ans est un no-life xD très grand-maigre
et qui ne sais pas quoi faire de sa vie mais sa va on s'entend bien.
Re: Divan, paillettes, frangins et frangines
Bon je me lance vu que j'ai rarement été aussi proche d'eux,
Grand frère n°1, geek professionnel vivait une histoire d'amour avec ses légos lorsqu'il était petit, ceux ci ont été remplacés par 2 ordinateurs à l'âge adulte. Il a toujours été renfermé sur lui même,parle rarement de sa vie extra-familiale, on a pas d'atomes crochus, il est immature pour un homme de 26 ans et on ne partage quasiment rien. Il ne connaît pas ma vie, je ne connais pas la sienne mais on s'aime comme ça. Avec lui le clash aura lieu lors de mon CO, il devient spécialiste sur les blagues homophobe
Grand frère n°2, opposé de frangin n°1, il aime partager sa vie, il est le premier a vouloir offrir des cadeaux à chacun.Il a toujours détesté parler sentiments mais il sait très bien les exprimer par les gestes, il n'habite plus avec moi et pourtant j'ai plus de contact avec lui qu'avec mon autre frangin. Il est le seul de la famille a qui j'ai failli tout avouer mais j'aurais peur de le perdre sachant qu'il est mal à l'aise avec le sujet.
Durant notre enfance, mes deux frangins avec leur 11 mois d'écart se tapait dessus au moins une fois tous les deux jours mais ils était très proches et moi j'étais mise de côté et pour cause, j'étais une fille dans un monde de garçon.
Aujourd'hui je suis plutôt complice avec frangin n°2 et pas indifférente mais presque avec frangin n°1.
Grand frère n°1, geek professionnel vivait une histoire d'amour avec ses légos lorsqu'il était petit, ceux ci ont été remplacés par 2 ordinateurs à l'âge adulte. Il a toujours été renfermé sur lui même,parle rarement de sa vie extra-familiale, on a pas d'atomes crochus, il est immature pour un homme de 26 ans et on ne partage quasiment rien. Il ne connaît pas ma vie, je ne connais pas la sienne mais on s'aime comme ça. Avec lui le clash aura lieu lors de mon CO, il devient spécialiste sur les blagues homophobe
Grand frère n°2, opposé de frangin n°1, il aime partager sa vie, il est le premier a vouloir offrir des cadeaux à chacun.Il a toujours détesté parler sentiments mais il sait très bien les exprimer par les gestes, il n'habite plus avec moi et pourtant j'ai plus de contact avec lui qu'avec mon autre frangin. Il est le seul de la famille a qui j'ai failli tout avouer mais j'aurais peur de le perdre sachant qu'il est mal à l'aise avec le sujet.
Durant notre enfance, mes deux frangins avec leur 11 mois d'écart se tapait dessus au moins une fois tous les deux jours mais ils était très proches et moi j'étais mise de côté et pour cause, j'étais une fille dans un monde de garçon.
Aujourd'hui je suis plutôt complice avec frangin n°2 et pas indifférente mais presque avec frangin n°1.
Re: Divan, paillettes, frangins et frangines
J'ai une soeur qui a 5 ans de plus que moi. On a des relations parfois tendues, parfois sympas. En fait, ça se rapproche de ce qu'a dit Xéxé, plus de 48h dans la même maison et on s'entre-tue. C'est un peu comme si on s'aimait seulement de loin.
Je crois qu'on vit dans deux mondes très différents, on n'a pas les mêmes fréquentations, ni les mêmes intérêts, elle me traite de fille gâtée, moi de cas social ... Que des jolis mots qui dépassent bien entendu la pensée quand on s'emporte ... Il n'en reste pas moins que c'est une relation compliquée, parce que je ne sais pas quoi faire pour l'aider, la comprendre, je me mets des barrières, je me donne un style quand elle est là, on a toutes les deux des caractères très forts, et c'est pour ça que ça clashe souvent et qu'au final, on se voit (trop) peu. J'aimerais bien lui dire ce que j'ai sur le coeur, mais je n'y arrive pas, ça viendra peut-être avec le temps.
Elle a été l'une des premières à savoir que je sortais avec une fille, et j'ai eu beau lui expliquer 36 000 fois, et je le fais encore, que je suis bi, elle me dit que je suis lesbienne, et ça ça me soule vraiment grave. C'est comme si on m'amputait d'une partie de ma personnalité, et que même ma soeur ne comprenne pas ça, ça fait chier. Enfin bref.
Fut un temps elle était un peu homophobe, du style "c'est Adam et Eve, et pas Adam et Adam", ok merci de ton intervention
Et puis maintenant je ne sais pas, on ne parle pas vraiment de ça. Donc voilà, une relation un peu compliquée, parce que beaucoup d'incompréhension, de différence, de fierté aussi sûrement. Mais il y a des périodes "moins pires" que d'autres
Je crois qu'on vit dans deux mondes très différents, on n'a pas les mêmes fréquentations, ni les mêmes intérêts, elle me traite de fille gâtée, moi de cas social ... Que des jolis mots qui dépassent bien entendu la pensée quand on s'emporte ... Il n'en reste pas moins que c'est une relation compliquée, parce que je ne sais pas quoi faire pour l'aider, la comprendre, je me mets des barrières, je me donne un style quand elle est là, on a toutes les deux des caractères très forts, et c'est pour ça que ça clashe souvent et qu'au final, on se voit (trop) peu. J'aimerais bien lui dire ce que j'ai sur le coeur, mais je n'y arrive pas, ça viendra peut-être avec le temps.
Elle a été l'une des premières à savoir que je sortais avec une fille, et j'ai eu beau lui expliquer 36 000 fois, et je le fais encore, que je suis bi, elle me dit que je suis lesbienne, et ça ça me soule vraiment grave. C'est comme si on m'amputait d'une partie de ma personnalité, et que même ma soeur ne comprenne pas ça, ça fait chier. Enfin bref.
Fut un temps elle était un peu homophobe, du style "c'est Adam et Eve, et pas Adam et Adam", ok merci de ton intervention
Et puis maintenant je ne sais pas, on ne parle pas vraiment de ça. Donc voilà, une relation un peu compliquée, parce que beaucoup d'incompréhension, de différence, de fierté aussi sûrement. Mais il y a des périodes "moins pires" que d'autres
Re: Divan, paillettes, frangins et frangines
Chez, moi il y a d'abord un grand frère, quasiment 32 ans au compteur. Petits on jouait ensembles, mais on a jamais été proches l'un de l'autre. C'est un peu mieux depuis qu'il a des enfants, on le voit un peu plus, et surtout je m'intéresse un peu plus aux mêmes choses que lui ^^
Ensuite, une grande soeur, 29 ans. Nous sommes très proches l'une de l'autre, sans doute grâce au peu de différence d'âges, des potes communs, tout ça tout ça. Le petit "hic" si j'ose, c'est que l'arrivée d'un bébé fait que ça parle un peu trop enfants à mon goût, mais bon !
Enfin, une petite soeur, 19 ans, mais qui en a toujours 14 dans ma tête. C'est un peu dur de ne pas la considérer comme une gamine parfois, mais plus on se voit plus et plus je vois sa maturité évoluer, et c'est très chouette ! C'est aussi la seule personne de la famille au courant de mon orientation sexuelle, du moins officiellement ^^
Ensuite, une grande soeur, 29 ans. Nous sommes très proches l'une de l'autre, sans doute grâce au peu de différence d'âges, des potes communs, tout ça tout ça. Le petit "hic" si j'ose, c'est que l'arrivée d'un bébé fait que ça parle un peu trop enfants à mon goût, mais bon !
Enfin, une petite soeur, 19 ans, mais qui en a toujours 14 dans ma tête. C'est un peu dur de ne pas la considérer comme une gamine parfois, mais plus on se voit plus et plus je vois sa maturité évoluer, et c'est très chouette ! C'est aussi la seule personne de la famille au courant de mon orientation sexuelle, du moins officiellement ^^
Re: Divan, paillettes, frangins et frangines
Encore un divan!! ^^ Bah tant qu'à faire, après avoir parler de mon père, autant parler de mes frères et sœurs!
J'ai un frère, une sœur par alliance et une demi sœur. Autant dire que quand on est en famille, on est une belle tablée.
Je suis l'ainée de la famille. Mon frère est née quand j'avais trois ans, en pleine reconstitution de la seconde guerre mondiale par mes parents. Mon frère et moi avons toujours été très proches, nous protégeant l'un l'autre de notre géniteur qui en avaient après tout et tout le monde... Aujourd'hui, je suis aussi proche de lui que possible, sachant qu'il habite chez mon géniteur...Et même s'il s'est récemment mit à fumer des joints et à trainer avec bon nombre de jeunes pas très fréquentables (qui lui ont valu quelques soirées au poste de police du coin...) il reste mon petit frère (de maintenant deux tête de plus que moi). Je crois qu'il est le seul de la famille auprès de qui je suis outée. J'appuie sur "je crois", car il l'a appris un soir où il rentrait de soirée, bourré
, par la gaffe d'un de mes amis qui ne l'avait pas vu rentrer. sur le coup il à rit, puis il s'est endormit. Après, pour savoir s'il s'en souvient... ^^"
Et quand à mes deux sœurs, l'une est du premier mariage de ma belle mère, c'est donc ma sœur par alliance. L'autre est de l'union sacrée de mon géniteur et de ma belle mère, c'est donc ma demi sœur.
La première est devenue, suite au mariage, une enfant totalement terrorisée. Dès que quelqu'un hausse la voix ou lève la main ou quoi que ce soit de ce genre, elle se met à pleurer...
Et quand à ma demi sœur, cette petite tête rousse à la chance d'être née après les cure de désintox de notre dénominateur commun, ne connaissant de lui que la gentilles, la douceur et l'amour, la chanceuse!
Sur ce, je vous laisse, mes révisions m'appellent de nouveau. --"
J'ai un frère, une sœur par alliance et une demi sœur. Autant dire que quand on est en famille, on est une belle tablée.
Je suis l'ainée de la famille. Mon frère est née quand j'avais trois ans, en pleine reconstitution de la seconde guerre mondiale par mes parents. Mon frère et moi avons toujours été très proches, nous protégeant l'un l'autre de notre géniteur qui en avaient après tout et tout le monde... Aujourd'hui, je suis aussi proche de lui que possible, sachant qu'il habite chez mon géniteur...Et même s'il s'est récemment mit à fumer des joints et à trainer avec bon nombre de jeunes pas très fréquentables (qui lui ont valu quelques soirées au poste de police du coin...) il reste mon petit frère (de maintenant deux tête de plus que moi). Je crois qu'il est le seul de la famille auprès de qui je suis outée. J'appuie sur "je crois", car il l'a appris un soir où il rentrait de soirée, bourré
, par la gaffe d'un de mes amis qui ne l'avait pas vu rentrer. sur le coup il à rit, puis il s'est endormit. Après, pour savoir s'il s'en souvient... ^^"Et quand à mes deux sœurs, l'une est du premier mariage de ma belle mère, c'est donc ma sœur par alliance. L'autre est de l'union sacrée de mon géniteur et de ma belle mère, c'est donc ma demi sœur.
La première est devenue, suite au mariage, une enfant totalement terrorisée. Dès que quelqu'un hausse la voix ou lève la main ou quoi que ce soit de ce genre, elle se met à pleurer...
Et quand à ma demi sœur, cette petite tête rousse à la chance d'être née après les cure de désintox de notre dénominateur commun, ne connaissant de lui que la gentilles, la douceur et l'amour, la chanceuse!
Sur ce, je vous laisse, mes révisions m'appellent de nouveau. --"
Re: Divan, paillettes, frangins et frangines
Mes petits frères je les adore 
J'ai de la chance de les avoir comme ça même si j'avoue que ce sont tous les deux des no life... l'un a 18 ans (bientôt 19, on a seulement un peu plus d'un an d'écart) et l'autre a 13 ans, c'est mon demi-frère mais j'ai toujours vécu avec et je considère son père comme mon père donc je dis jamais que c'est mon demi frère, pour moi c'est mes deux frères
J'avoue je les fais sûrement un peu (beaucoup) chier car depuis que je suis partie de chez moi pour les études, quand je reviens je leur fais des tas de calins et de bisous mais eux sont un peu gênés, ils me repoussent un peu (surtout quand ils sont devant l'ordi ou la xbox) mais au fond je sais que ce n'est pas parce qu'ils ne tiennent pas à moi mais parce que dans la famille on a jamais été très tactiles. Pourquoi je me suis mise à leur faire des tas de calins pour rien, mystère mais surement parce que je me disais qu'on était pas assez proches.
Du coup depuis que j'ai commencé ils y échappent plus, de toute façon c'est plus fort que moi dès que je les vois je les trouve trop mignons et je leur saute dessus
Bon niveau sympathie en ce moment c'est mon frère de 18 ans qui est le plus cool, l'autre étant visiblement en train de faire sa crise d'adolescence puisqu'il arrive à râler juste quand quelqu'un passe derrière lui. Ça lui passera et ça m'empêche pas de me faire un plaisir de le harceler pour avoir des bisous
Du genre : mettre ma tête devant l'écran d'ordi et dire "fais un bisou et je m'en vais" (oui oui je sais je suis horrible !)
Sinon c'est vrai que étant l'ainée quand on était petits ils en voyaient un peu de toutes les couleurs (surtout mon frère de 18 ans qui est resté petit en taille jusqu'à ses 14-15 ans) ... par exemple j'etouffais mon premier frère sous la couverture car il était complètement terrorisé et hurlait, ou mon second frère, avec l'aide de mon frère de 18 ans on lui prenait ses doudous et on le faisait pleurer en lui disant qu'on allait les tuer...
Bref malgré ça ils sont pas traumatisés et ils m'aiment bien quand même !!
Quand au CO en fait je pense qu'ils savent depuis longtemps que je suis avec ma copine vu que même lorsque celle ci était pour tout le monde "ma meilleure amie", ils voyaient bien que je lui faisais à elle aussi plein de calins (mais bon ils y passaient aussi me direz vous) mais surtout récemment après avoir annoncé à mes parents qui s'en doutaient depuis des années que ma meilleure amie était ma copine, ils ont vu que je me gênais pas pour la tenir dans mes bras et mon petit frère de 13 ans nous a même "surprises" alors que je lui faisais un petit bisou, il a détourné la tête d'un air un peu gêné mais en même temps il rigolait...
Bref pour conclure ça ne les dérange pas du tout, je suis dans une famille très cool et je suis trop fière et heureuse de "frère 1" (18 ans) qui insultait de tous les noms des cons lors de son stage qui étaient homophobes !! Le seul petit bémol est que je ne parle pas "de ça" avec eux mais ce n'est pas parce que je suis avec une fille. Je ne sais pas pourquoi mais avec eux j'ai toujours eu un peu de mal à parler de ce qui peut se rapporter au sexe ou aux sentiments, peut être parce qu'ils étaient trop jeunes avant et que maintenant je ne sais pas comment faire... donc je dis rien !
J'ai vraiment de la peine pour ceux d'entre vous qui ont des rapports pas très gais avec leurs brothers & sisters...
J'ai de la chance de les avoir comme ça même si j'avoue que ce sont tous les deux des no life... l'un a 18 ans (bientôt 19, on a seulement un peu plus d'un an d'écart) et l'autre a 13 ans, c'est mon demi-frère mais j'ai toujours vécu avec et je considère son père comme mon père donc je dis jamais que c'est mon demi frère, pour moi c'est mes deux frères
J'avoue je les fais sûrement un peu (beaucoup) chier car depuis que je suis partie de chez moi pour les études, quand je reviens je leur fais des tas de calins et de bisous mais eux sont un peu gênés, ils me repoussent un peu (surtout quand ils sont devant l'ordi ou la xbox) mais au fond je sais que ce n'est pas parce qu'ils ne tiennent pas à moi mais parce que dans la famille on a jamais été très tactiles. Pourquoi je me suis mise à leur faire des tas de calins pour rien, mystère mais surement parce que je me disais qu'on était pas assez proches.
Du coup depuis que j'ai commencé ils y échappent plus, de toute façon c'est plus fort que moi dès que je les vois je les trouve trop mignons et je leur saute dessus
Bon niveau sympathie en ce moment c'est mon frère de 18 ans qui est le plus cool, l'autre étant visiblement en train de faire sa crise d'adolescence puisqu'il arrive à râler juste quand quelqu'un passe derrière lui. Ça lui passera et ça m'empêche pas de me faire un plaisir de le harceler pour avoir des bisous
Du genre : mettre ma tête devant l'écran d'ordi et dire "fais un bisou et je m'en vais" (oui oui je sais je suis horrible !)Sinon c'est vrai que étant l'ainée quand on était petits ils en voyaient un peu de toutes les couleurs (surtout mon frère de 18 ans qui est resté petit en taille jusqu'à ses 14-15 ans) ... par exemple j'etouffais mon premier frère sous la couverture car il était complètement terrorisé et hurlait, ou mon second frère, avec l'aide de mon frère de 18 ans on lui prenait ses doudous et on le faisait pleurer en lui disant qu'on allait les tuer...
Bref malgré ça ils sont pas traumatisés et ils m'aiment bien quand même !!
Quand au CO en fait je pense qu'ils savent depuis longtemps que je suis avec ma copine vu que même lorsque celle ci était pour tout le monde "ma meilleure amie", ils voyaient bien que je lui faisais à elle aussi plein de calins (mais bon ils y passaient aussi me direz vous) mais surtout récemment après avoir annoncé à mes parents qui s'en doutaient depuis des années que ma meilleure amie était ma copine, ils ont vu que je me gênais pas pour la tenir dans mes bras et mon petit frère de 13 ans nous a même "surprises" alors que je lui faisais un petit bisou, il a détourné la tête d'un air un peu gêné mais en même temps il rigolait...
Bref pour conclure ça ne les dérange pas du tout, je suis dans une famille très cool et je suis trop fière et heureuse de "frère 1" (18 ans) qui insultait de tous les noms des cons lors de son stage qui étaient homophobes !! Le seul petit bémol est que je ne parle pas "de ça" avec eux mais ce n'est pas parce que je suis avec une fille. Je ne sais pas pourquoi mais avec eux j'ai toujours eu un peu de mal à parler de ce qui peut se rapporter au sexe ou aux sentiments, peut être parce qu'ils étaient trop jeunes avant et que maintenant je ne sais pas comment faire... donc je dis rien !
J'ai vraiment de la peine pour ceux d'entre vous qui ont des rapports pas très gais avec leurs brothers & sisters...
Re: Divan, paillettes, frangins et frangines
C'est pas brillant brillant non plus de ce côté.
Ayant rencontré mon père à 17 ans j'ai fait simultanément la connaissance de ses filles, deux jeunes ados et une petite poulette miniature...
Bilan des courses aujourd'hui, la soeur dont je me sentais le plus proche s'est mariée, a deux enfants, un mari beauf et a même changé de nom. Ma vie est TELLEMENT éloignée de son paysage que j'ai coupé les ponts suite à mon défilement lâche mais justifié (je ne suis pas allée à son mariage, elle a encaissé mon chèque de cadeau et terminé, ça fait 2 ans).
Celle un peu plus jeune encore, zéro news, pas envie de, rien à lui dire, sincèrement.
La mini, on a un peu discuté quelque temps sur msn, mais ça m'a vite gonflé, elle n'arrêtait pas de se plaindre de mon père (son EMPLOYEUR ! that's right) sur facebook et ça m'usait.
Bilan donc : fille unique. J'ai découvert que les liens du sang veulent dirent quelque chose, mais qu'on ne construit pas une relation dessus.
Viendra un temps où il faudra que je montre l'arbre généalogique à mon fils, hors de question qu'il grandisse sans savoir qui est qui.
Par contre je me refuse à lui dire que mon père est son papi. Il n'est déjà pas mon papa. C'est donc son grand-père de naissance et je refuse qu'ils aient une relation quelconque, manquerait plus que ça !
Ayant rencontré mon père à 17 ans j'ai fait simultanément la connaissance de ses filles, deux jeunes ados et une petite poulette miniature...
Bilan des courses aujourd'hui, la soeur dont je me sentais le plus proche s'est mariée, a deux enfants, un mari beauf et a même changé de nom. Ma vie est TELLEMENT éloignée de son paysage que j'ai coupé les ponts suite à mon défilement lâche mais justifié (je ne suis pas allée à son mariage, elle a encaissé mon chèque de cadeau et terminé, ça fait 2 ans).
Celle un peu plus jeune encore, zéro news, pas envie de, rien à lui dire, sincèrement.
La mini, on a un peu discuté quelque temps sur msn, mais ça m'a vite gonflé, elle n'arrêtait pas de se plaindre de mon père (son EMPLOYEUR ! that's right) sur facebook et ça m'usait.
Bilan donc : fille unique. J'ai découvert que les liens du sang veulent dirent quelque chose, mais qu'on ne construit pas une relation dessus.
Viendra un temps où il faudra que je montre l'arbre généalogique à mon fils, hors de question qu'il grandisse sans savoir qui est qui.
Par contre je me refuse à lui dire que mon père est son papi. Il n'est déjà pas mon papa. C'est donc son grand-père de naissance et je refuse qu'ils aient une relation quelconque, manquerait plus que ça !