Mon mauvais feuilleton...
Publié : mer. nov. 14, 2012 7:50 pm
Bon, je ne passe pas souvent par là, mais j'ai l'impression d'être au pied du mur.
Je n'attends rien de précis. Juste besoin de parler (euh...d'écrire).
Pourtant, dans la vie je suis bien entourée de plein de très chouettes ami(e)s, qui m'écoutent, me sortent ou m'hébergent.
Je vais faire le résumé du résumé, parce que sinon, c'est un roman que je vais écrire !
Mon ex-copine, avec qui j'étais pacsée, cumule les problèmes psy.
Dès le début, je savais que c'était une ancienne anorexique (3 ans d'hospitalisation), devenue boulimique, qui n'arrivait pas à s'en sortir. Mais à l'époque, j'ai estimé que mon bonheur à partager avec elle surpasserait clairement les souffrances à subir.
Elle était drôle, intelligente, dynamique, attentionnée, etc...
Et petit à petit, sont apparus les mensonges, trahisons, vols...
Avec des hauts et des bas.
Ses sauts d'humeurs multi-quotidien, faisaient que j'avais parfois l'impression d'être polygame.
Mais des bons moments, il y en a eu. Beaucoup. Et je ne veux pas les oublier malgré le scénario qui est en train de s'écrire aujourd'hui. Je lutte.
J'ai quitté ma femme. Je suis partie après son premier acte de violence. Je sais que mes limites sont lointaines, mais là, c'était trop.
C'était il y a trois semaines. Trois semaines de rebondissements 4 fois par jour. Au téléphone ou par mail.
Elle a la trouille de se retrouver face à elle même. Seule. Elle est tellement perdue, qu'elle a une pseudo histoire avec notre voisin. Même si elle me dit que ce n'est pas vrai. Elle est malheureusement très forte en manipulation.
La quasi totalité de ses amis lui tourne le dos. Ils en ont marre de ses comportements négatifs, et de sa fausse volonté de s'en sortir. Et même s'ils lui trouvent aussi plein de qualités.
On est séparée, mais nous sommes toujours dans le même appartement, tant que notre appart ne sera pas reloué. On avait pourtant instauré un roulement, mais au bout de 48h, elle n'a plus voulu. Aucun arrangement ne lui convient.
Ce matin, il y a encore eu une grosse crise, très violente en paroles, où je me suis fait traiter de tous les noms. Mais là, elle vient de m'appeler pour que l'on passe une bonne soirée.
Parce qu'entre les crises, elle continue de me dire qu'elle m'aime...
Dans une semaine, elle sera peut être hospitalisée. J'espère que oui, mais je ne pense pas qu'elle ai le courage (pour elle, c'est un retour en arrière).
Mes sentiments sont partagés entre la haine, le regret, la colère, l'envie viscérale de fuite, mais aussi l'envie d'être avec elle, de la prendre dans mes bras.
Et tout ça malgré ses comportements pervers.
Oui, je sais, ça peut paraître fou. Mais c'est comme ça, et c'est ce que j'essaye d'analyser, de comprendre.
Bref, je suis paumée...
Je n'attends rien de précis. Juste besoin de parler (euh...d'écrire).
Pourtant, dans la vie je suis bien entourée de plein de très chouettes ami(e)s, qui m'écoutent, me sortent ou m'hébergent.
Je vais faire le résumé du résumé, parce que sinon, c'est un roman que je vais écrire !
Mon ex-copine, avec qui j'étais pacsée, cumule les problèmes psy.
Dès le début, je savais que c'était une ancienne anorexique (3 ans d'hospitalisation), devenue boulimique, qui n'arrivait pas à s'en sortir. Mais à l'époque, j'ai estimé que mon bonheur à partager avec elle surpasserait clairement les souffrances à subir.
Elle était drôle, intelligente, dynamique, attentionnée, etc...
Et petit à petit, sont apparus les mensonges, trahisons, vols...
Avec des hauts et des bas.
Ses sauts d'humeurs multi-quotidien, faisaient que j'avais parfois l'impression d'être polygame.
Mais des bons moments, il y en a eu. Beaucoup. Et je ne veux pas les oublier malgré le scénario qui est en train de s'écrire aujourd'hui. Je lutte.
J'ai quitté ma femme. Je suis partie après son premier acte de violence. Je sais que mes limites sont lointaines, mais là, c'était trop.
C'était il y a trois semaines. Trois semaines de rebondissements 4 fois par jour. Au téléphone ou par mail.
Elle a la trouille de se retrouver face à elle même. Seule. Elle est tellement perdue, qu'elle a une pseudo histoire avec notre voisin. Même si elle me dit que ce n'est pas vrai. Elle est malheureusement très forte en manipulation.
La quasi totalité de ses amis lui tourne le dos. Ils en ont marre de ses comportements négatifs, et de sa fausse volonté de s'en sortir. Et même s'ils lui trouvent aussi plein de qualités.
On est séparée, mais nous sommes toujours dans le même appartement, tant que notre appart ne sera pas reloué. On avait pourtant instauré un roulement, mais au bout de 48h, elle n'a plus voulu. Aucun arrangement ne lui convient.
Ce matin, il y a encore eu une grosse crise, très violente en paroles, où je me suis fait traiter de tous les noms. Mais là, elle vient de m'appeler pour que l'on passe une bonne soirée.
Parce qu'entre les crises, elle continue de me dire qu'elle m'aime...
Dans une semaine, elle sera peut être hospitalisée. J'espère que oui, mais je ne pense pas qu'elle ai le courage (pour elle, c'est un retour en arrière).
Mes sentiments sont partagés entre la haine, le regret, la colère, l'envie viscérale de fuite, mais aussi l'envie d'être avec elle, de la prendre dans mes bras.
Et tout ça malgré ses comportements pervers.
Oui, je sais, ça peut paraître fou. Mais c'est comme ça, et c'est ce que j'essaye d'analyser, de comprendre.
Bref, je suis paumée...