C'est en parlant que le passé cesse d'être présent
C'est en parlant que le passé cesse d'être présent
Parler : la première arme pour lutter contre un passé trop présent...
Lire l'article dans Infos, conseils > Dépression, suicide
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Merci pour cet article, Luluth
Est-ce que cette méthode a fonctionné pour toi ?
Ce que tu dis me rappelle un film (je ne donne pas le titre exprès) où le héros a subi un traumatisme. Sur les conseils d'une amie, il écrit en détail cette histoire sur un petit carnet. A la fin du film, il brûle les feuilles une par une, sans que personne d'autre n'ait lu ce carnet.
Est-ce que cette méthode a fonctionné pour toi ?
Ce que tu dis me rappelle un film (je ne donne pas le titre exprès) où le héros a subi un traumatisme. Sur les conseils d'une amie, il écrit en détail cette histoire sur un petit carnet. A la fin du film, il brûle les feuilles une par une, sans que personne d'autre n'ait lu ce carnet.
Comment avez vous faits pour lire cet article puisqu'il n'est pas encore visible
Sinon, pour ce qui est de moi je ne me suis pas encore « ouvert », donc je ne suis pas un bon exemple J'avoue donc avoir écrit rapidement ce petit texte aussi pour me donner du courage... mais je pense qu'il peut avoir un brin d'utilité pour toutes les autres personnes qui ont envie de parler mais qui culpabilisent, qui ne se demandent à quoi parler peut servir, qui pensent qu'elles n'ont pas à embêter le monde avec leur passé, etc... je n'ai pas vraiment pris le temps de relire les quelques « sujets du vie » du forum, mais je crois qu'ils commencent souvent par « désolé de raconter ma vie » ou « ceux qui liront jusqu'au bout auront du courage » qui soulignent bien cette difficulté. Peut-être aussi pour ceux qui sentent que certaines personnes de leur entourage ont envie de parler de quelque chose, pour les inciter... et éventuellement aussi pour lutter un peu contre le cliché « psy = oreille payante », mais pas de grande ambition, j'ai tapé ça assez rapidement, j'ai jugé vite fait qu'en tous cas ce ne serait pas parfaitement inutile
Sinon, pour ce qui est de moi je ne me suis pas encore « ouvert », donc je ne suis pas un bon exemple J'avoue donc avoir écrit rapidement ce petit texte aussi pour me donner du courage... mais je pense qu'il peut avoir un brin d'utilité pour toutes les autres personnes qui ont envie de parler mais qui culpabilisent, qui ne se demandent à quoi parler peut servir, qui pensent qu'elles n'ont pas à embêter le monde avec leur passé, etc... je n'ai pas vraiment pris le temps de relire les quelques « sujets du vie » du forum, mais je crois qu'ils commencent souvent par « désolé de raconter ma vie » ou « ceux qui liront jusqu'au bout auront du courage » qui soulignent bien cette difficulté. Peut-être aussi pour ceux qui sentent que certaines personnes de leur entourage ont envie de parler de quelque chose, pour les inciter... et éventuellement aussi pour lutter un peu contre le cliché « psy = oreille payante », mais pas de grande ambition, j'ai tapé ça assez rapidement, j'ai jugé vite fait qu'en tous cas ce ne serait pas parfaitement inutile
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- Inscription : mar. déc. 18, 2007 10:21 am
C'est vrai que parler ça aide beaucoup, ça nous soulage en général d'un poids, on se sent mieux, plus léger. Encore faut il avoir la personne à qui parler, c'est pas toujours le cas malheureusement.
Moi il y a quelques années, je n'avais personne à qui parler de mon homosexualité, et c'était pas évident à gérer
Moi il y a quelques années, je n'avais personne à qui parler de mon homosexualité, et c'était pas évident à gérer
Oups, on avait oublié de valider l'article, c'est réparé.luluth a écrit :Comment avez vous faits pour lire cet article puisqu'il n'est pas encore visible
(les rédateurs du site peuvent voir tous les articles même non validés, faut juste pas louper le bouton "valider" en bas )
Pour revenir au sujet... je n'ai jamais eu trop de mal à me confier sur le net (sauf pour des trucs comme la vie amoureuse). Sur ce site en particulier car j'ai confiance en les gens qui le fréquentent, et que pas mal de gens racontent leurs problèmes et que d'autres tentent de les aider. Au même temps je fais attention à ce que j'écris et je ne pense pas à avoir à rougir de ce que j'ai écrit ici.