Merci pour ton temoignage, que dire de plus que ce qui a deja ete dit...
Il est des fois ou l'on se reconnait dans les mots/maux des autres.
La lumiere est toujours au bout du tunnel meme si parfois on y croit plus.
Le cri de l'insomnie
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- Inscription : mar. sept. 05, 2006 2:47 pm
J'ai sans cesse repoussé la lecture de cet article, et puis finalement je m'y suis mis. Mal m'a pris de repousser un moment si intense.
A dire vrai, je ne m'attendais pas à un tel choc, parce que je ne m'attendais pas à un tel article. La précision du style, la violence concntrée en quelques lignes et, évidemment, le sujet, m'ont donné une claque violente, me parcourant de frissons de plaisir à la lecture d'un écrit si beau, mêlés à des frissons de dégoût en lisant les horreurs que tu as vécues.
Je suis avec toi : comment ne pas l'être ?
A dire vrai, je ne m'attendais pas à un tel choc, parce que je ne m'attendais pas à un tel article. La précision du style, la violence concntrée en quelques lignes et, évidemment, le sujet, m'ont donné une claque violente, me parcourant de frissons de plaisir à la lecture d'un écrit si beau, mêlés à des frissons de dégoût en lisant les horreurs que tu as vécues.
Je suis avec toi : comment ne pas l'être ?
... pas grand chose à ajouter... à part bcp d'admiration pour toi, ton courage, ta belle fierté, tes efforts considérables pour survivre puis... tenter de revivre !, et bcp de dégoût pour ces gestes d'adultes ... ces mots de "parents"...
c'est fou comme on retrouve dans tous les témoignages similaires au tien (ici, ou dans les médias, ou même dans les films/téléfilms qui abordent la question) les mêmes mots/les mêmes ressentis : la honte, l'impossibilité de dire non à l'adulte, l'abandon des "grandes personnes" à qui l'on ose enfin en parler et qui offrent pour toute réponse des "ce n'est pas possible" "ça n'existe pas dans la famille" "tu inventes", etc.. ; tu expliques superbement comment cette dénégation de l'humain, de l'enfant, ces actes "bestiaux" détruisent l'innocence...
Comment, après, croire en la vie, croire en l'adulte, croire en l'Amour ?
Tu es une belle personne, Klack, ça c'est une certitude,
bises,
Mady
c'est fou comme on retrouve dans tous les témoignages similaires au tien (ici, ou dans les médias, ou même dans les films/téléfilms qui abordent la question) les mêmes mots/les mêmes ressentis : la honte, l'impossibilité de dire non à l'adulte, l'abandon des "grandes personnes" à qui l'on ose enfin en parler et qui offrent pour toute réponse des "ce n'est pas possible" "ça n'existe pas dans la famille" "tu inventes", etc.. ; tu expliques superbement comment cette dénégation de l'humain, de l'enfant, ces actes "bestiaux" détruisent l'innocence...
Comment, après, croire en la vie, croire en l'adulte, croire en l'Amour ?
Tu es une belle personne, Klack, ça c'est une certitude,
bises,
Mady