Ah ça, c'est le compliment qui me touche comme une flèche en plein coeur ! J'ai mis 28 ans à atteindre un tel degré dans l'art du moulinet dans le vide. Et je compte bien continuer à me perfectionner.Norma a écrit :D'une certaine manière, j'admire ton art d'user tant de mots à ne rien dire.
Ca touche à une description de paillasson dans Eugénie Grandet, mais en plus enlevé.
Ma vie toute entière tend vers un seul but : me rapprocher du vide absolu avant de l'atteindre vraiment. Avoir un avant-goût de la mort avant de devenir à mon tour le cher disparu.
Pour cela, j'ai un plan simple. Je veux écrire mon don paisible à moi : 1800 pages sans faire avancer l'intrigue d'un pouce !