D'un patient l'autre, lettre à mon psy
D'un patient l'autre, lettre à mon psy
L'exemple d'une psychothérapie dopée par la grâce de sa Majesté la Poste. Alléchant ? Mieux : économique. Car être homo, c'est comme être papa : ça coûte cher en analyse.
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Re: D'un patient l'autre, lettre à mon psy
Content de te revoir ici.
L'élégance, ce n'est pas noyer l'huître avec l'espadon (voir page 22) en allumant un feu sur l'eau afin que la fumée fasse illusion. L'élégance, ce n'est pas souffrir de ne pouvoir poser sur la table ce roman qui vous torture le cœur parce que l'illustration de la couverture ressemble à la collection arlequin.
L'élégance, ce n'est pas le mépris de son miroir parce que le reflet n'est pas assez net.
Non, ce n'est pas ça l'élégance, c'est plutôt savoir poser ses boulets sur la table en disant : "Vous avez-vu la belle horloge comtoise que j'ai dégottée dans mon grenier ? " et les autres alors, de s'arranger pour débarrasser la table sans bruit, sans même un petit "han" d'effort et de rendre heureux celui qui a si bien su confier à ses amis couteaux et crochets afin qu'ils ne le blessent plus.
Peut-être pourras-tu un jour, nous dire que tu ne vas pas très bien et que nos chaleureuses accolades te feraient du bien.
surtout n'hésite pas.
L'élégance, ce n'est pas noyer l'huître avec l'espadon (voir page 22) en allumant un feu sur l'eau afin que la fumée fasse illusion. L'élégance, ce n'est pas souffrir de ne pouvoir poser sur la table ce roman qui vous torture le cœur parce que l'illustration de la couverture ressemble à la collection arlequin.
L'élégance, ce n'est pas le mépris de son miroir parce que le reflet n'est pas assez net.
Non, ce n'est pas ça l'élégance, c'est plutôt savoir poser ses boulets sur la table en disant : "Vous avez-vu la belle horloge comtoise que j'ai dégottée dans mon grenier ? " et les autres alors, de s'arranger pour débarrasser la table sans bruit, sans même un petit "han" d'effort et de rendre heureux celui qui a si bien su confier à ses amis couteaux et crochets afin qu'ils ne le blessent plus.
Peut-être pourras-tu un jour, nous dire que tu ne vas pas très bien et que nos chaleureuses accolades te feraient du bien.
surtout n'hésite pas.
Re: D'un patient l'autre, lettre à mon psy
Bon, je vais encore me faire incendiée pour avoir fait une remarque, mais c'est sympa de commenter l'article, mais ce serait mieux si on pouvait aussi le lire et donc qu'il soit activé.
Je dis ca je dis rien.
Je dis ca je dis rien.
Re: D'un patient l'autre, lettre à mon psy
Je suis assez d'accord, surtout qu'il s'agit enfin d'un article qui ne traite absolument pas de l'homosexualité : un torchon parmi les serviettes, en quelque sorte, pour distraire le lecteur d'Et Alors.
Mais je me dois d'ajouter que les quelques lignes de Zphyr m'ont profondément touché par leur justesse et leur bienveillance. Je dois même avouer que ça m'a fait réfléchir (chose qui en dehors des devinettes que soumet ma fille à ma formidable sagacité se produit assez rarement). Merci, donc, au passage.
Mais je me dois d'ajouter que les quelques lignes de Zphyr m'ont profondément touché par leur justesse et leur bienveillance. Je dois même avouer que ça m'a fait réfléchir (chose qui en dehors des devinettes que soumet ma fille à ma formidable sagacité se produit assez rarement). Merci, donc, au passage.
Re: D'un patient l'autre, lettre à mon psy
+ 1. Je me suis fais la même remarque.Norma a écrit :Bon, je vais encore me faire incendiée pour avoir fait une remarque, mais c'est sympa de commenter l'article, mais ce serait mieux si on pouvait aussi le lire et donc qu'il soit activé.
Je dis ca je dis rien.
Re: D'un patient l'autre, lettre à mon psy
Et puis le message de Zphyr épaissit le mystère (Il est poète ce zphyr).
Quel article fantastique a bien pu pondre ce cher drlrleu??
Quel article fantastique a bien pu pondre ce cher drlrleu??
Re: D'un patient l'autre, lettre à mon psy
Quel buzz !
En même temps, il s'agit d'un article dont Spinoza a dit qu'il lui avait "foutu la tête à l'envers". Il va changer des vies.
En même temps, il s'agit d'un article dont Spinoza a dit qu'il lui avait "foutu la tête à l'envers". Il va changer des vies.
Re: D'un patient l'autre, lettre à mon psy
Pas la peine de raler, le voici l'article.....
C'était juste une façon de faire monter le désir autour de Drlrleu. Je suis sûr qu'il aime ça, en plus.
J'ai lu au premier degré, parce qu'il est 8 h du mat, un samedi. Et j'ai ri. Puis, je me suis juré de ne jamais devenir psy.
C'était juste une façon de faire monter le désir autour de Drlrleu. Je suis sûr qu'il aime ça, en plus.
J'ai lu au premier degré, parce qu'il est 8 h du mat, un samedi. Et j'ai ri. Puis, je me suis juré de ne jamais devenir psy.
Re: D'un patient l'autre, lettre à mon psy
La vie est longue et le chemin semé d'embûches avant de pouvoir enfin "décider de passer l’éponge, car le passé, c’est le passé, et partir se reposer à côté d’un bon feu."
Bon courage pour la suite.
Bon courage pour la suite.
Re: D'un patient l'autre, lettre à mon psy
Merci. Bien d'accord. Ne crois-tu pas que ce chemin passe par un restaurant réglé rubis sur l'ongle par un plus pauvre que vous ? Je suis sûr que ça pourrait rendre la vie moins longue.floridjan a écrit :La vie est longue et le chemin semé d'embûches avant de pouvoir enfin "décider de passer l’éponge, car le passé, c’est le passé, et partir se reposer à côté d’un bon feu."
Bon courage pour la suite.