.Femme battue : témoignage d'un monstre
Re: Femme battue : t�moignage d'un monstre
Tu as surement raison. Merci beaucoup pour les conseils .
.Re: Femme battue : t�moignage d'un monstre
Ahhhh j'arrive trop tard pour être d'une quelconque utilité! Je ne peux que plussoyer avec le savant floridjan.
Je te souhaite bon courage Yume
Je te souhaite bon courage Yume
Re: Femme battue : t�moignage d'un monstre
Merci beaucoup.
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inconnu n
Re: Femme battue : témoignage d'un monstre
J'arrive longtemps après, juste pour te dire que tu n'es pas la seule à qui ce genre de choses peut arriver.
Pour poser le contexte, je me suis mis à faire du théâtre (en impros) en Terminale, où justement ça me permettait d'évacuer la pression, le stress... Et l'an dernier, j'ai continué au début, mais je me suis vite senti mal à l'aise dans le groupe. Vis à vis de la prof, notamment, qui s'était mise à toujours me "bousculer" (gentiment mais chaque fois ça me foutait la pression), et vis à vis d'un mec du groupe que j'aimais pas. Qui plus est, la prof nous faisait toujours jouer ensemble, ce gars, deux autres gars (Stéphane et Hervé) et moi. Stéphane et Hervé, je les aimais bien, mais ils avaient toujours beaucoup de mal à tenir compte de l'autre dans l'impro, et à improviser (moi aussi mais bien moins qu'eux), et donc jouer avec ces trois là à chaque fois ou presque, ça devenait lourd. A chaque fois, la prof nous faisait des remarques (genre, une fois, dans l'impro, Stéphane et Hervé étaient partis dans leur truc en me laissant de côté, et on s'était fait un peu engueuler).
Bref, ça me mettait la pression, et je me stressais du coup, d'ailleurs j'avais moins envie d'y aller mais continuais pour voir une pote (Stella). Et un jour, dans une impro, dans le feu de l'action, voulant "frapper" Stéphane, je me suis pas contrôlé et l'ai vraiment frappé, en plus je lui ai fait mal. J'avais un peu perdu le contrôle. Je me suis excusé, en jurant que j'avais pas fait exprès (évidemment j'avais rien prémédité et j'ai tout de suite regretté, mais pendant une fraction de secondes, ça n'avait pas été totalement involontaire). Moi aussi, je me suis toujours senti très honteux suite à ça. Je ne suis plus retourné là-bas, parce que ça me pesait, mais aussi pour ne pas affronter leur regard (même si j'ai su que personne ne m'en voulait), et parce que j'avais peur de recommencer.
Bref, je veux juste te montrer que tu n'es pas seule à avoir des accès de violence (tout comme toi, à part ça ces dernières années j'ai été "doux comme un agneau"), et à avoir fait un truc pas du tout glorieux (je me suis vraiment senti grosse brute), même si le cas est pas du tout le même.
Pour poser le contexte, je me suis mis à faire du théâtre (en impros) en Terminale, où justement ça me permettait d'évacuer la pression, le stress... Et l'an dernier, j'ai continué au début, mais je me suis vite senti mal à l'aise dans le groupe. Vis à vis de la prof, notamment, qui s'était mise à toujours me "bousculer" (gentiment mais chaque fois ça me foutait la pression), et vis à vis d'un mec du groupe que j'aimais pas. Qui plus est, la prof nous faisait toujours jouer ensemble, ce gars, deux autres gars (Stéphane et Hervé) et moi. Stéphane et Hervé, je les aimais bien, mais ils avaient toujours beaucoup de mal à tenir compte de l'autre dans l'impro, et à improviser (moi aussi mais bien moins qu'eux), et donc jouer avec ces trois là à chaque fois ou presque, ça devenait lourd. A chaque fois, la prof nous faisait des remarques (genre, une fois, dans l'impro, Stéphane et Hervé étaient partis dans leur truc en me laissant de côté, et on s'était fait un peu engueuler).
Bref, ça me mettait la pression, et je me stressais du coup, d'ailleurs j'avais moins envie d'y aller mais continuais pour voir une pote (Stella). Et un jour, dans une impro, dans le feu de l'action, voulant "frapper" Stéphane, je me suis pas contrôlé et l'ai vraiment frappé, en plus je lui ai fait mal. J'avais un peu perdu le contrôle. Je me suis excusé, en jurant que j'avais pas fait exprès (évidemment j'avais rien prémédité et j'ai tout de suite regretté, mais pendant une fraction de secondes, ça n'avait pas été totalement involontaire). Moi aussi, je me suis toujours senti très honteux suite à ça. Je ne suis plus retourné là-bas, parce que ça me pesait, mais aussi pour ne pas affronter leur regard (même si j'ai su que personne ne m'en voulait), et parce que j'avais peur de recommencer.
Bref, je veux juste te montrer que tu n'es pas seule à avoir des accès de violence (tout comme toi, à part ça ces dernières années j'ai été "doux comme un agneau"), et à avoir fait un truc pas du tout glorieux (je me suis vraiment senti grosse brute), même si le cas est pas du tout le même.