"Private Romeo" (2011), "Five Dances" (2012) d'Alan Brown
Re: Private Romeo
Romeo + Juliette fait parti de mes films préfèré.
La scène de l'aquarium, celle de la piscine, j'en rêve ^^
J'aime bien ce genre d'expérience, "private Romeo" pourquoi pas, surtout que tout le monde sait qu'il n'y a pas d'homosexuels chez les militaires
La scène de l'aquarium, celle de la piscine, j'en rêve ^^
J'aime bien ce genre d'expérience, "private Romeo" pourquoi pas, surtout que tout le monde sait qu'il n'y a pas d'homosexuels chez les militaires
Re: Private Romeo
qu'est-ce que t'es de mauvaise foiRay Steam a écrit :Rien à voir ...
Remarque, en essayant de trouver une photo de Leo plus jeune au temps de Roméo, j'ai fait yeurk O_O Je n'en avais pas ce souvenir. Il était plus sex dans "la plage".
Mais pour en revenir au sujet, perso, j'ai eu beaucoup de mal à différencier les acteurs durant le film "Private Romeo" : la coupe militaire, çà vous fait ressembler tout le monde à tout le monde, et vu que je ne suis pas super obervateur, surtout dans les scènes pas super éclairées exprès...
A bas la coupe raz du crâne
Re: Private Romeo
Par rapport au sujet, ce n'est pas la première adaptation romancée façon gay de Shakespeare. Il y avait aussi eu Were the world mine, une adaptation moderne et sympathique du Songe d'une nuit d'été. Mais pour le coup, ce dernier avait été distribué en France, dans un très petit nombre de salles.
Re: Private Romeo
Oula, entre "Were the world mine" et "Private Romeo", y'a pas photo, je préfère le second. Le premier, en dehors des scènes musicales, c'est . C'est comme du Glee en fait - mais c'est grâce à çà que j'aime bien "Relax"
Re: Private Romeo
Objectivement, sur les deux photos du haut, je préfère Di Caprio.tkf a écrit :qu'est-ce que t'es de mauvaise foiRay Steam a écrit :Rien à voir ...
Remarque, en essayant de trouver une photo de Leo plus jeune au temps de Roméo, j'ai fait yeurk O_O Je n'en avais pas ce souvenir. Il était plus sex dans "la plage".
Mais pour en revenir au sujet, perso, j'ai eu beaucoup de mal à différencier les acteurs durant le film "Private Romeo" : la coupe militaire, çà vous fait ressembler tout le monde à tout le monde, et vu que je ne suis pas super obervateur, surtout dans les scènes pas super éclairées exprès...
A bas la coupe raz du crâne
Re: Private Romeo
La bande-annonce me fait plutôt envie.
(Par contre, l'affiche est très moche )
(Par contre, l'affiche est très moche )
Re: Private Romeo
Vouiiiiii enfin je trouve.^^
Re: Private Romeo
Je suis d'habitude pas fan des films à thématique LGBT mais la c'est possible que je me laisse tenter.
Re: "Private Romeo" (2011), "Five Dances" (2012) d'Alan Brow
J'ai édité le titre de mon topic de l'année passée, afin de ne pas multiplier les sujets.
Vu samedi passé, au dernier festival LGBT de Bruxelles : "Five Dances", d'Alan Brown.
Le nom du réalisateur me disait vaguement quelque chose, jusqu'à ce que je tilte : c'est le même que celui qui a réalisé "Private Romeo".
Un très beau film. Très différent et très complémentaire de "Private Romeo", dont on pourrait imaginer, avec l'esprit un peu tordu, qu'il constitue la suite. Si j'ai bien compris les explications, Alan Brown a engagé quatre danseurs, dont un seulement était également comédien, et un chorégraphe parmi ses connaissances et à qui il a demandé de créer cinq pièces courtes. Là-dessus, il a inventé un scénario qui relie toutes les scènes qu'il a filmées.
Le résultat est un film avec un budget manifestement assez étriqué : cinq personnages (le chorégraphe, danseur également, deux danseurs et deux danseuses) évoluant dans le loft du quartier de Soho à New-York où ils répètent un spectacle et dans une moindre mesure dans les rues avoisinantes. Film découpé en cinq parties, débutant chacune par une des cinq danses et continuant par des petites scènes entre les personnages, dont l'histoire se développe au fûr et à mesure.
Un scénario mince comme une feuille de papier à cigarettes, mais ce n'est pas péjoratif : l'histoire est simple mais parfaite. Le danseur principal a 18 ans, débarque du Kansas et est remarqué par un chorégraphe qui l'engage pour une première partie de spectacle. Il n'a pas un sou et dort à même le sol dans le loft après les répétitions. Les autres personnages, déjà soudés par la pratique commune de la danse, apprennent, comme le spectateur, à le découvrir.
L'histoire évolue vers une très simple et très belle histoire d'amour entre ce personnage et Theo, l'autre danseur, au rythme des efforts de chacun, des exercices, des répétitions, des prouesses physiques et de la beauté de la chorégraphie.
Un film apparemment tout simple, donc, mais une vraie découverte cinématographique ! Qui met en avant la beauté des corps magnifiés par la chorégraphie, avec des moments splendides, des images à couper le souffle, et une scène d'amour - également chorégraphiée - torride comme on en voit rarement. Un film de festivals, qui paraîtra sans doute en DVD mais qui ne sortira certainement pas en grandes salles. Si vous avez l'occasion de le voir, n'hésitez pas, même si vous n'aimez pas la danse contemporaine ...
J'ai hâte de découvrir les autres films d'Alan Brown
Vu samedi passé, au dernier festival LGBT de Bruxelles : "Five Dances", d'Alan Brown.
Le nom du réalisateur me disait vaguement quelque chose, jusqu'à ce que je tilte : c'est le même que celui qui a réalisé "Private Romeo".
Un très beau film. Très différent et très complémentaire de "Private Romeo", dont on pourrait imaginer, avec l'esprit un peu tordu, qu'il constitue la suite. Si j'ai bien compris les explications, Alan Brown a engagé quatre danseurs, dont un seulement était également comédien, et un chorégraphe parmi ses connaissances et à qui il a demandé de créer cinq pièces courtes. Là-dessus, il a inventé un scénario qui relie toutes les scènes qu'il a filmées.
Le résultat est un film avec un budget manifestement assez étriqué : cinq personnages (le chorégraphe, danseur également, deux danseurs et deux danseuses) évoluant dans le loft du quartier de Soho à New-York où ils répètent un spectacle et dans une moindre mesure dans les rues avoisinantes. Film découpé en cinq parties, débutant chacune par une des cinq danses et continuant par des petites scènes entre les personnages, dont l'histoire se développe au fûr et à mesure.
Un scénario mince comme une feuille de papier à cigarettes, mais ce n'est pas péjoratif : l'histoire est simple mais parfaite. Le danseur principal a 18 ans, débarque du Kansas et est remarqué par un chorégraphe qui l'engage pour une première partie de spectacle. Il n'a pas un sou et dort à même le sol dans le loft après les répétitions. Les autres personnages, déjà soudés par la pratique commune de la danse, apprennent, comme le spectateur, à le découvrir.
L'histoire évolue vers une très simple et très belle histoire d'amour entre ce personnage et Theo, l'autre danseur, au rythme des efforts de chacun, des exercices, des répétitions, des prouesses physiques et de la beauté de la chorégraphie.
Un film apparemment tout simple, donc, mais une vraie découverte cinématographique ! Qui met en avant la beauté des corps magnifiés par la chorégraphie, avec des moments splendides, des images à couper le souffle, et une scène d'amour - également chorégraphiée - torride comme on en voit rarement. Un film de festivals, qui paraîtra sans doute en DVD mais qui ne sortira certainement pas en grandes salles. Si vous avez l'occasion de le voir, n'hésitez pas, même si vous n'aimez pas la danse contemporaine ...
J'ai hâte de découvrir les autres films d'Alan Brown