Crown Of Thorns a écrit :Elle meurt, c'est mieux...popy a écrit :
la petite bretonne
pardon?
Crown Of Thorns a écrit :Elle meurt, c'est mieux...popy a écrit :
la petite bretonne
Je trouve sa voix et sa zik tellement mielleuse-à-chier que je ne peux m'empêcher d'imaginer son trépas comme un événement globalement positif à l'échelle de l'espèce humaine Mais c'est un avis qui n'engage que moi, et certes c'est une façon métaphorique de parler : si son décès brutal sous un 33 tonnes me paraitrait souhaitable, je m'interdis en revanche d'avoir une quelconque implication active dans un événement de ce genre.popy a écrit :Crown Of Thorns a écrit :Elle meurt, c'est mieux...popy a écrit :
la petite bretonne
pardon?
Hé ben un truc qui m'a bluffé dans ce film c'est le travail de la lumière. Le détail des réflexions, notamment dans la cuisine de maison de poupées, et le soin apporté aux textures sont assez bluffant. Surtout quand on sait ce que ça coûte en temps processeur et la complexité des algos. Oui moi aussi je peux ramener ma science. Bref, même s'il garde la pâte/patte ? du dessin animé, on voit le travail passé sur l'image et on le voit parce qu'on ne peut que se dire que c'est quand même vachement beau. Obtenir tout ça avec des maths avouez que c'est hallucinant.Daisy.Adair a écrit :J'ai pensé deux choses après l'avoir vu :
Vous comprendrez donc, pour ceux ayant pris la peine de me lire, que les dialogues, les instants où nous devons rire, me sont passés au-dessus de la tête.
Genre le morceau de sucre qui fait la taille de l'ongle de mon auriculaire ?Pepps a écrit :Je suis la seule que ça a chiffonné ?
Merci pour ce passage Daisy, qui a réussi à résumer en 4 lignes ce que j'aime chez les films de Ghibli. Ce rapport très animiste à la nature-mère, qui se passe de dialogues verbaux pour dégager sa poésie ... Princesse Mononoke ou Nausicaä étant d'assez bons exemples (enfin, je pense.)Daisy.Adair a écrit : Ce détail, il m'a rappelé celui où, pourrait-on dire, le cerf (désolé pour l'appellation inappropriée, je suis un peu pressé) marchait dans la nature dans Princesse Mononoke. Aucun dialogue, juste le détail du pas, faisant siffler le végétal après-coup. C'est ce petit instant qui au fur et à mesure des années retient mon attention, que j'attends dans la composition des plans où se donne à voir le végétal.