Black Swan
Re: Black Swan
juste pour dire que la photo précédemment posté me sert de fond pour mon twitter, et le plan sur les jambes d'avatar de profil acebook
magnifique
magnifique
Re: Black Swan
Je viens de voir le film. Le côté oppressant a bien fonctionné avec moi. J'ai d'ailleurs eu beaucoup de mal a rentrer dans le film, parce que je luttais pour ne pas y entrer, j'ai horreur de tout ce qui est scarification ou ce genre de chose... Bref, assez mal à l'aise pendant une bonne moitié du film et donc plutôt resté en dehors mais au fur et à mesure que le dénouement approche, je suis rentré dedans et j'ai trouvé la dernière partie du film vraiment haletante et captivante, avec une fin vraiment magistral. La danse du "black swan" est éblouissante. Bien sûr, la musique de Tchaikovsky dont je suis fan depuis l'enfance y est pour beaucoup aussi^^
Comme Zü et contrairement à Constance, j'ai trouvé interessant le rapport mère/fille, à la fois complice, affectueux mais au final étouffant et finalement presque tyrannique...
Le personnage joué par Winona Rider est interessant aussi mais un peu survolé.
Mina Kulis, américaine sexy, joli contraste avec Natalie Portman, m'a rappelé Denise Richards dans Sexcrimes.
Comme Zü et contrairement à Constance, j'ai trouvé interessant le rapport mère/fille, à la fois complice, affectueux mais au final étouffant et finalement presque tyrannique...
Le personnage joué par Winona Rider est interessant aussi mais un peu survolé.
Mina Kulis, américaine sexy, joli contraste avec Natalie Portman, m'a rappelé Denise Richards dans Sexcrimes.
Sauf si leur but était de faire sursauter, parce que dans ce cas, pari tenu me concernant ! J'ai sursauté violemment à deux reprise dans le film !popy a écrit : Je noterais juste que les sons pris pour faire l'effet de surprise sont trop exagérés.
Dernière modification par floridjan le mer. févr. 16, 2011 6:43 pm, modifié 1 fois.
Re: Black Swan
floridjan a écrit :Je viens de voir le film. Le côté oppressant a bien fonctionné avec moi. J'ai d'ailleurs eu beaucoup de mal a rentrer dans le film, parce que je luttais pour ne pas y entrer, j'ai horreur de tout ce qui est scarification ou ce genre de chose... Bref, assez mal à l'aise pendant une bonne moitié du film et donc plutôt resté en dehors mais au fur et à mesure que le dénouement approche, je suis rentré dedans et j'ai trouvé la dernière partie du film vraiment haletante et captivante, avec une fin vraiment magistral. La danse du "black swan" est éblouissante. Bien sûr, la musique de Tchaikovsky dont je suis fan depuis l'enfance y est pour beaucoup aussi^^
Comme Zü et contrairement à Constance, j'ai trouvé interessant le rapport mère/fille, à la fois complice, affectueux mais au final étouffant et finalement presque tyrannique...
Le personnage joué par Winona Rider est interessant aussi mais un peu survolé.
Mina Kulis, américaine sexy, joli contraste avec Nathalie Portman, m'a rappelé Denise Richards dans Sexcrimes.
Sauf si leur but était de faire sursauter, parce que dans ce cas, pari tenu me concernant ! J'ai sursauté violemment à deux reprise dans le film !popy a écrit : Je noterais juste que les sons pris pour faire l'effet de surprise sont trop exagérés.
deux sursauts aussi
Re: Black Swan
.... Les sons qui faisaient sursauter n'avaient aucune finesse.
C'était des sons que je trouvais ridicules du coup par rapport a dautres sons angoissants
Du film.
C'est tout.
C'était des sons que je trouvais ridicules du coup par rapport a dautres sons angoissants
Du film.
C'est tout.
Re: Black Swan
J'ai aimé.
Moi c'est le côté schizophrène qui m'a fait vachement flipper, c'est beau, elles, il, jouent bien, j'ai pleuré dans le métro en sortant du film.
Une bouffée d'angoisse et je me suis remis à me gratter, le soir même j'avais les jambes un peu ensanglanté.
Ça m'a rappeler tout plein de souvenirs... Nathalie Portman merveilleuse, et je connais pas les réalisateur et chorégraphe mais c'était magnifique, tout.
Bref je retourne me petit suicider (mais pas à cause de Black Swan, Black Swan c'est bien, il faut le voir) .
Moi c'est le côté schizophrène qui m'a fait vachement flipper, c'est beau, elles, il, jouent bien, j'ai pleuré dans le métro en sortant du film.
Une bouffée d'angoisse et je me suis remis à me gratter, le soir même j'avais les jambes un peu ensanglanté.
Ça m'a rappeler tout plein de souvenirs... Nathalie Portman merveilleuse, et je connais pas les réalisateur et chorégraphe mais c'était magnifique, tout.
Bref je retourne me petit suicider (mais pas à cause de Black Swan, Black Swan c'est bien, il faut le voir) .
Re: Black Swan
OK, ben moi ce film m'a terrorisé. Voui, je suis une chochotte. C'est juste qu'il a abordé tous les trucs qui me mettent mal à l'aise en général : la souffrance auto-infligée, la folie, la danse... brrrr. Heureusement que j'avais une niaise derrière qui me cacher, sérieusement.
Sinon, j'ai adoré. J'y connais absolument rien en danse, mais comme Brutal, j'ai fini par apprécier les scènes finales, particulièrement le passage en cygne noir. La recherche de la perfection, la relation mère-fille... tout ça est bien amené. Et les acteurs sont très bons, je suis pour l'oscar à la Portman.
Ouais, je suis une grande critique de ciné, moi aussi.
Sinon, j'ai adoré. J'y connais absolument rien en danse, mais comme Brutal, j'ai fini par apprécier les scènes finales, particulièrement le passage en cygne noir. La recherche de la perfection, la relation mère-fille... tout ça est bien amené. Et les acteurs sont très bons, je suis pour l'oscar à la Portman.
Ouais, je suis une grande critique de ciné, moi aussi.
Re: Black Swan
Bonsoir, alors moi Black Swan m'a tétanisée
Je ne suis pourtant pas trop impressionnable au ciné d'ordinaire, je crois, mais je ne sais pas, cette fois-ci je n'ai pas réussi à garder la "distance de sécurité", le "recul du spectateur" permettant de regarder un film avec détachement. Une fois les tripes prises, c'est trop tard, le jeu d'actrice (virtuose, vraiment) de Nathalie Portman et les musiques font le reste : on l'accompagne dans son chemin de croix d'artiste jusqu'au-bout-iste, dans son chemin de folie vers le Beau ultime, vers la mort (la petite, puis la grande), ressentant les choses avec elle, terriblement, alors que parfois on s'en passerait bien. (Mais après tout cela joue potentiellement sur des ressorts spécifiques à chacun : que certains éléments fassent écho à des choses sensibles et personnelles, des phobies tout ça. C'est un peu un hasard, mais ça aide le film à te frapper en pleine tronche bien plus qu'il ne le devrait.)
Pour ce qui est de la forme, Darren Aronofsky maîtrise son sujet et distille petit à petit la tension, palpable même dans les moments de "calme" relatif, amène très bien l'idée du double malsain dans le jeu avec les miroirs (mais le truc de la caméra à l'épaule, ça donne le tournis, quand même, un peu. Etait-ce vraiment bien nécessaire de chercher à nous donner envie de vomir par un simple effet mécanique de mal de mer ? )
Bref, 1h43 où l'on retient son souffle (car non, ce n'est pas du tout un film où on se détend) en attente d'un final que l'on attend sublime, et qui n'a pas déçu mes attentes (certaines critiques m'avaient fait entrevoir la peur d'un effet kitsch grandiloquent, en fait non, pas du tout).
Ça faisait longtemps qu'un film ne m'avait pas autant "remuée" ... Même encore là j'ai du mal à en parler clairement. Il va falloir que je le re-regarde pour voir si je l'apprivoise, et ce que je peux trouver derrière.
Je ne suis pourtant pas trop impressionnable au ciné d'ordinaire, je crois, mais je ne sais pas, cette fois-ci je n'ai pas réussi à garder la "distance de sécurité", le "recul du spectateur" permettant de regarder un film avec détachement. Une fois les tripes prises, c'est trop tard, le jeu d'actrice (virtuose, vraiment) de Nathalie Portman et les musiques font le reste : on l'accompagne dans son chemin de croix d'artiste jusqu'au-bout-iste, dans son chemin de folie vers le Beau ultime, vers la mort (la petite, puis la grande), ressentant les choses avec elle, terriblement, alors que parfois on s'en passerait bien. (Mais après tout cela joue potentiellement sur des ressorts spécifiques à chacun : que certains éléments fassent écho à des choses sensibles et personnelles, des phobies tout ça. C'est un peu un hasard, mais ça aide le film à te frapper en pleine tronche bien plus qu'il ne le devrait.)
Pour ce qui est de la forme, Darren Aronofsky maîtrise son sujet et distille petit à petit la tension, palpable même dans les moments de "calme" relatif, amène très bien l'idée du double malsain dans le jeu avec les miroirs (mais le truc de la caméra à l'épaule, ça donne le tournis, quand même, un peu. Etait-ce vraiment bien nécessaire de chercher à nous donner envie de vomir par un simple effet mécanique de mal de mer ? )
Bref, 1h43 où l'on retient son souffle (car non, ce n'est pas du tout un film où on se détend) en attente d'un final que l'on attend sublime, et qui n'a pas déçu mes attentes (certaines critiques m'avaient fait entrevoir la peur d'un effet kitsch grandiloquent, en fait non, pas du tout).
Ça faisait longtemps qu'un film ne m'avait pas autant "remuée" ... Même encore là j'ai du mal à en parler clairement. Il va falloir que je le re-regarde pour voir si je l'apprivoise, et ce que je peux trouver derrière.
Re: Black Swan
fait pas comme moi à le remater tout de suite, une fois l'effet choc passé il reste pas grand chose
Re: Black Swan
Ben moi, je n'ai pas du tout, du tout accroché.
Certes, Nathalie Portman joue très très bien et c'est beau, mais je trouve l'histoire assez plate. La tension que certains ont pu ressentir m'est restée totalement étrangère : les moments calmes et certaines répliques ou scènes décalées brisaient pour moi tout l'effet dramatique qui aurait peut-être réussi à se mettre en place autrement. Je ne peux pas monter en pression quand j'ai envie de rire.
Certes, Nathalie Portman joue très très bien et c'est beau, mais je trouve l'histoire assez plate. La tension que certains ont pu ressentir m'est restée totalement étrangère : les moments calmes et certaines répliques ou scènes décalées brisaient pour moi tout l'effet dramatique qui aurait peut-être réussi à se mettre en place autrement. Je ne peux pas monter en pression quand j'ai envie de rire.