Moins c'est long, plus c'est bon: le court-métrage
Et Logorama, alors ? (disponible en entier quelque part dans le lien)
Personnellement, même si je lui reconnais une certaine originalité dans la forme (certainement pas dans le contenu), je n'ai pas vraiment accroché.
Thème vu et revu, pas vraiment de surprise... Même si tout s'enchaîne bien, et que ça fait quand même sourire (parfois), j'ai vraiment trouvé ça beaucoup trop fade.
Enfin, je ne suis pas étonnée que ça plaise aux Américains, mais le monde du court-métrage français regorge de petites perles, alors c'est un peu frustrant...
Personnellement, même si je lui reconnais une certaine originalité dans la forme (certainement pas dans le contenu), je n'ai pas vraiment accroché.
Thème vu et revu, pas vraiment de surprise... Même si tout s'enchaîne bien, et que ça fait quand même sourire (parfois), j'ai vraiment trouvé ça beaucoup trop fade.
Enfin, je ne suis pas étonnée que ça plaise aux Américains, mais le monde du court-métrage français regorge de petites perles, alors c'est un peu frustrant...
C'est pour honorer la toute récente autorisation du placement dans le cinéma Français ?!!!
Bon effectivement, je l'ai vu mais voilà, ça me gave déjà suffisamment de me taper des publicités partout à longueur de temps dans mon quotidien, le scénario m'a laissé de marbre, techniquement c'est bien fait mais il n'y a rien d'exceptionnel. Je cherche encore ce que ce court a d'intéressant. La transgression d'avoir utilisé toutes ces marques sans demander l'autorisation des sociétés ? Les associations d'idées que véhiculent les logos ? A la fin il en reste un truc sans grand intérêt à mon goût, qui va vite tomber dans les oubliettes... Si le public s'extasie de si peu dans le milieu du court, c'est effectivement préoccupant...
Bon effectivement, je l'ai vu mais voilà, ça me gave déjà suffisamment de me taper des publicités partout à longueur de temps dans mon quotidien, le scénario m'a laissé de marbre, techniquement c'est bien fait mais il n'y a rien d'exceptionnel. Je cherche encore ce que ce court a d'intéressant. La transgression d'avoir utilisé toutes ces marques sans demander l'autorisation des sociétés ? Les associations d'idées que véhiculent les logos ? A la fin il en reste un truc sans grand intérêt à mon goût, qui va vite tomber dans les oubliettes... Si le public s'extasie de si peu dans le milieu du court, c'est effectivement préoccupant...
Attention, on passe à du très court métrage avec les 5 second films Y en a des très moyen mais aussi quelques perles en fouillant un peu :
Late for Work qui résume bien une journée de boulot
et S.O.S qui m'a bien fait rire
Late for Work qui résume bien une journée de boulot
et S.O.S qui m'a bien fait rire
Mendoza's Game m'a bien fait marrer. Kisonkons.Bliss a écrit :Attention, on passe à du très court métrage avec les 5 second films
bah, et tu fais quoi de l"école française des courts métrages d'après guerre ???Zünisch a écrit :Il faut dire aussi que le court-métrage n'a acquis ses lettres de noblesse que depuis une dizaines d'année. Donc forcément la publicité et les moyens de distribution sont encore à l'état larvaire comparés aux longs métrages. Mais à mon avis, ça va se développer.djoulie a écrit :Sinon c'est vrai qu'il y a toujours moyen de voir des courts lors de festivals, mais à part celui de Clermont ou le tour de France des lutins, j'ai rarement vu des festivals qui déplaçaient les foules, et je trouve ça bien dommage.
Exemple, le festival international du court-métrage à Lille: une trentaine de personnes au mieux dans la salle pendant les projections, malgré une programmation plus que correcte, qui plus est dans une grande ville.
Certe, je dis ça parce que j'ai un module dessus cette année, mais à l'époque y'avait au ciné un court métrage documentaire ou de fiction avant chaque film, on appelait ca les "docucu" (ridicul, mais remetons ça dans les années 50), et c'était à la fois super populaire et très reconnu comme laboratoire de talent, tous les grands de la rive gauche surtout y ont débuté.
A l'époque, c'était même plus facile de tourner un court dans de bonnes conditions que maintenant.
Sinon, Clermond, j'aimerais vraiment y aller (avec un film) un jour, c'est très très très reconnu comme festoch' dans le métier.
Tu m'étonnes qu'il soit reconnu. Tous genres confondus, c'est le plus grand festival de cinéma de France après Cannes. C'est un tremplin monstrueux pour les jeunes (ou moins jeunes) réalisateurs.Norma Jean a écrit : Sinon, Clermond, j'aimerais vraiment y aller (avec un film) un jour, c'est très très très reconnu comme festoch' dans le métier.
Sinon, un autre court assez particulier et dérangeant, que j'ai eu l'occasion de sous-titrer pour un autre festival, qui m'a beaucoup marquée et que je trouve magnifiquement réalisé: Liminal.
Pourtant, il me semble que la place de la fiction pure dans les courts-métrages de cette époque est extrêmement réduite. La très forte dominante documentaire s'explique bien évidemment par la volonté de l'Etat de communiquer sur ses actions. Et le court, dans cette période, était le meilleur support. Mais je doute que ce soit la seule explication. Après il y a bien sûr eu des courts, qui même taxés de documentaires, semblent issus de nul part. (Genre Guernica d'Alain Renais.) Mais toujours est-il que j'ai l'impression que la diversité du court et sa reconnaissance en terme d'oeuvre à part (et non lié obligatoirement à un long) est assez récente. M'enfin, ce ne sont pas mes études. Alors au final...Norma Jean a écrit :bah, et tu fais quoi de l"école française des courts métrages d'après guerre ???Zünisch a écrit :Il faut dire aussi que le court-métrage n'a acquis ses lettres de noblesse que depuis une dizaines d'année. Donc forcément la publicité et les moyens de distribution sont encore à l'état larvaire comparés aux longs métrages. Mais à mon avis, ça va se développer.djoulie a écrit :Sinon c'est vrai qu'il y a toujours moyen de voir des courts lors de festivals, mais à part celui de Clermont ou le tour de France des lutins, j'ai rarement vu des festivals qui déplaçaient les foules, et je trouve ça bien dommage.
Exemple, le festival international du court-métrage à Lille: une trentaine de personnes au mieux dans la salle pendant les projections, malgré une programmation plus que correcte, qui plus est dans une grande ville.
Certe, je dis ça parce que j'ai un module dessus cette année, mais à l'époque y'avait au ciné un court métrage documentaire ou de fiction avant chaque film, on appelait ca les "docucu" (ridicul, mais remetons ça dans les années 50), et c'était à la fois super populaire et très reconnu comme laboratoire de talent, tous les grands de la rive gauche surtout y ont débuté.
A l'époque, c'était même plus facile de tourner un court dans de bonnes conditions que maintenant.
non mais t'as pas tord ...Zünisch a écrit :Pourtant, il me semble que la place de la fiction pure dans les courts-métrages de cette époque est extrêmement réduite. La très forte dominante documentaire s'explique bien évidemment par la volonté de l'Etat de communiquer sur ses actions. Et le court, dans cette période, était le meilleur support. Mais je doute que ce soit la seule explication. Après il y a bien sûr eu des courts, qui même taxés de documentaires, semblent issus de nul part. (Genre Guernica d'Alain Renais.) Mais toujours est-il que j'ai l'impression que la diversité du court et sa reconnaissance en terme d'oeuvre à part (et non lié obligatoirement à un long) est assez récente. M'enfin, ce ne sont pas mes études. Alors au final...Norma Jean a écrit :bah, et tu fais quoi de l"école française des courts métrages d'après guerre ???Zünisch a écrit : Il faut dire aussi que le court-métrage n'a acquis ses lettres de noblesse que depuis une dizaines d'année. Donc forcément la publicité et les moyens de distribution sont encore à l'état larvaire comparés aux longs métrages. Mais à mon avis, ça va se développer.
Certe, je dis ça parce que j'ai un module dessus cette année, mais à l'époque y'avait au ciné un court métrage documentaire ou de fiction avant chaque film, on appelait ca les "docucu" (ridicul, mais remetons ça dans les années 50), et c'était à la fois super populaire et très reconnu comme laboratoire de talent, tous les grands de la rive gauche surtout y ont débuté.
A l'époque, c'était même plus facile de tourner un court dans de bonnes conditions que maintenant.
C'est vrai que malgré la force d'innovation des ovnis de l'époque, les courts étaient forcement de commande et formaté, et qu'il y'avait une bien moins grande liberté de thèmes.
Par contre, ce qui était perdu en liberté thématique était gagné en liberté formelle...
Et surtout, ils étaient tellement plus financés !!!! A l'époque ca devait etre un plaisir de faire un montage financier pour un court, alors que maintenant :S
Quand aux courts métrages de fiction, je connais moins bien leur état dans l'histoire.
Même si je trouve que différencier fiction/doc est pas toujours pertinent, mais ça c'est une autre histoire.