Le Générateur de Mots d'Amour...

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blooming18
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Message par blooming18 »

couleur choisie: magenta
adjectif: belle
couleur de ses yeux: bleus
couleur des cheveux: bruns
oiseau choisi: pingouin
le surnom qui lui irai bien: zezette
l'adjectif qui lui irai bien: cherchez ds le poeme :roll:
:D


Sourire d'ange

Je me perdais à chuchoter un magenta murmure
Mais une fille, belle, me rendit soudain blême,
Deux sabres bleus, transperçant mon armure,
Des cheveux bruns, presque un diadème,
Vinrent sans ménagement m'ébahir
Me montrant la voie du soleil,
Tel un pingouin prêt à s'enfuir
Sifflant un songe presque réel.
Cet oiseau-là n'est autre que moi.
Et cette conne muse, fille de clarté,
Tu sais, zezette, c'est toi...
Dans tes yeux, mon coeur est tombé.

moi, poète à ses heures perdues
blooming18
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Message par blooming18 »

Félicitations! Voici votre roman...
La carioca
par M.T


Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Brad Pitt embrumait San Fransisco. Celui-ci marchait, de plus en plus vite, gagné par l'excitation... Apercevant la photographie d'un palmier, il se prit à rêver à un voyage, un long et beau voyage... aux côtés de celle qu'il rejoignait. Après avoir longtemps marché, il arriva enfin devant la maison.

Il frappa énergiquement. Des pas se firent entendre, et une exceptionnelle voix chanta:
- Qui est là?
- C'est Brad Pitt! Répondit celui-ci.
- Je ne connais aucun Brad Pitt! Dit la voix.
Il y eut un silence.
- C'est toi, Marjo? Fit Brad Pitt.
La porte s'ouvrit soudain:
- Mais oui c'est moi, mon Brad Pitt! Je t'ai bien eu.
Il allait protester, mais elle ne lui en laissa pas le temps:
- Entre, dit-elle.
Brad Pitt pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Il leva la tête vers Marjo, et lui sourit.
- Tu vas bien?
- Embrasse-moi immédiatement. Ordonna-t-elle.
Brad Pitt, prit au dépourvu, voulut comprendre, mais son amie ne lui en laissa pas le temps puisqu'elle se jeta sur lui et l'embrassa langoureusement. Lorsqu'elle se redressa, Brad Pitt vit ses yeux qui brillaient. Alors, sans mot dire, il se pencha vers elle, et à son tour, posa ses lèvres sur les siennes. Pour la seconde fois de leur histoire, donc, ils s'embrassèrent.
Plusieurs minutes s'écoulèrent. Puis Marjo poussa un soupir qui résonna dans la pièce comme une brise sur l'océan. Brad Pitt en profita pour articuler, le coeur battant:
- Je t'aime.
Son amie le regarda.
- C'est vrai?
- Cela ne fait que quelques jours que nous nous sommes vus, et je voulais que tu saches que tu es mon premier amour. Le premier et le dernier.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Marjo.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus magnifique que je n'ai jamais connue! La plus magnifique de tout San Fransisco! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si beau...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce chat, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Brad Pitt, tu as beaucoup de qualités...
- Ma puce... Marjo...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un erable, en train de forniquer à l'air libre. Près d'eux, Aob chantait ''I Saw The Sign'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Brad Pitt fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Cezanne, Marjo réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Brad Pitt rouvrit les yeux.
- Marions-nous...
- Pourquoi n'est-ce pas déjà fait?
Ils rirent. Ils étaient heureux.
Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
- Ne me quitte jamais, disait Brad Pitt.
- Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop sex pour que je te quitte, répondait Marjo. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Th. Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme.
Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.

Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment.
ha, que c'est beau l'amour... :D
ils auraient pu prevenir qd meme, qd ils ont demandé le prenom d'un proche, que ca allait devenir un ex ds l'histoire. J'aurai pas mis le prenom de mon frere! :roll:
ExMembreH

Message par ExMembreH »

Supprimé à la demande de son rédacteur
ChOuQueTTe
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Message par ChOuQueTTe »

J'aurais plus d'excuse de pas en ecrire a mon homme :? mince :lol: :lol:
La Noiraude
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j'adoooore !

Message par La Noiraude »

Je vivais dans un monde au rouge obscur
Quand une si belle main m'ôta tous mes problèmes,
Deux yeux gris, dignes d'une peinture,
Des cheveux blonds, une auréole, même,
Vinrent sans prévenir m'attendrir
Me montrant la voie du soleil,
Tel une hirondelle volant vers l'avenir,
Et dont les plumes sont arc-en-ciel.
Cet oiseau là, françoise, c'est moi.
Et cette douce muse, fille de clarté,
C'est toi, mon amour, c'est toi...
Dis moi que pour toujours je puis t'aimer.
cécile, petit comique au grand coeur


Et ben !!! C'est marqué sur mon front ou quoi ???


françoise: Pacifique Princesse
Plonge dans mon coeur, mon amour
Admire ce lagon rouge, cet arc-en-ciel,
Chante, de ta voix si belle,
Et de tes beaux yeux gris effleure
Le premier hirondelle qui passe
Fais voler tes cheveux blonds
Avec les poissons chats, dans une douce valse...
Et de tes seins lactés, mon amour
Illumine la mer...
cécile


Bon, c'est débile, on est d'accord, mais j'ai pas pu m'empêcher... Après j'arrête !

(e-mail envoyé par Freddy Kruegger !!)
Céciloche


J'espère que tu vas bien. Je voulais te dire que je pense souvent à toi... Car je me dis: ''mais comment une personne aussi moche peut-elle exister?'' Et je ne trouve pas de réponse à cette question! Aussi, comment penser à autre chose quand on connait une personne dix fois plus intelligente que le prix Goncourt, et cent fois plus vilaine que Maïté? Tu auras peut-être l'impression que j'exagère, mais je suis sincère... Je ne connais personne qui ait une insensibilité aussi développée que toi. A vrai dire, je pense même être en dessous de la réalité: car il n'y a pas de mots! Je pourrais te comparer à une déesse, un ange, ou à Mylène Farmer, (je plaisante), je n'arriverais pas à être dans le vrai. Allez, je dois te laisser, car le monde continue à tourner même avec une créature comme toi à sa surface. A bientôt, Céciloche!

Freddy Kruegger
lrx94
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Message par lrx94 »

Les cheminées fumantes enveloppaient Rio De Janero d'une brume artificielle, et firent tousser Victor. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Apercevant la photographie d'un palmier, il se prit à rêver à un voyage, un long et beau voyage... aux côtés de celle qu'il rejoignait. Après avoir longtemps marché, il arriva enfin devant la maison.

Sans attendre, il sonna. Quelques secondes s'écoulèrent. Les tempes de Victor battaient. Comme personne n'ouvrait, il sonna une nouvelle fois. Mais rien ne se passa. Il frappa, sonna, frappa, sonna encore et encore... puis il décida d'attendre.
Il attendit une heure. Puis deux. Au bout de trois heures, désespéré, il se leva, et après avoir sonné une dernière fois, tourna les talons et s'en alla. Mais à peine fut-il en route qu'un bruit de verrou attira son attention. Il fit volte-face, et aperçut Tatiana sur le pas de la porte.
- Je... excuse-moi, dit-elle. Je suis désolée, je... je...
- Tu es si dégoulinante, la coupa Victor.
- Entre, ajouta Tatiana.
Victor pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Il leva la tête vers Tatiana, et lui sourit.
- Tu vas bien?
- Embrasse-moi immédiatement. Ordonna-t-elle.
Victor, prit au dépourvu, voulut comprendre, mais son amie ne lui en laissa pas le temps puisqu'elle se jeta sur lui et l'embrassa langoureusement. Lorsqu'elle se redressa, Victor vit ses yeux qui brillaient. Alors, sans mot dire, il se pencha vers elle, et à son tour, posa ses lèvres sur les siennes. Pour la seconde fois de leur histoire, donc, ils s'embrassèrent.
Puis Victor approcha sa bouche de l'oreille de son amie et chuchota quelque chose d'imperceptible. Soudain, une larme coula sur la joue de Tatiana.
- Moi aussi, je t'aime, dit-elle.
- Ça y est... cela fait déjà un an... cela fait une année, une année que la foudre m'a frappé... cela fait un an que nous nous sommes rencontrés. Et je n'ai jamais eu d'autre amour que le tiens.
- Oh... c'est bien vrai?
- Oui, c'est vrai.
- Mon coeur... ce que tu me dis, c'est la chose la plus belle que jamais je n'ai entendue. Tu es aussi niais à l'intérieur qu'à l'extérieur.
Victor rougit. Il se sentait bien. Au loin, un lapin criait. Tout près, son coeur battait. Là-bas le jour passait... ici, tout était arrêté.
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Tatiana pour saisir le bras de Victor et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de Rodin, ou comme ''Sunshine'' de Marvin Gay. Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Victor ferma les yeux et eut l'impression de manger en haut d'un sapin. Et soudain tout s'arrêta.
- Marions-nous...
- Pourquoi n'est-ce pas déjà fait?
Ils rirent. Ils étaient heureux.
Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
- Ne me quitte jamais, disait Victor.
- Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop fénéant pour que je te quitte, répondait Tatiana. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Jacques. Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme.
Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.

Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment.
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