c'est le gagnant de cette année, ca devrait donc etre:cici a écrit :et qui sera président du festival l'année prochaine ?? tu le sais ?
ah mais j'avais pas vu ça...Paulette a écrit :salut les belettes,
J'ai chopé ça (difficile de le rater vu les affiches dans le métro) :
j'avais été plutôt déçue par le tome 3 (il se passait pas grand chose,
et y'avait plus le bô gosse que j'aimais bien). Pourtant Bourgeon nous
avait mis une homosexouelle avec du caractère...
Le dernier tome (4ème donc) a l'air mieux parti.
Je tiens juste à dire que Bourgeon, c'est une fois encore toute ma jeunesse,
j'ai (entre autre) fantasmé sur Isabeau dans "les passagers du vents"...
C'est pour moi une des meilleures série de SF (avec Aldébaran, mais dérrière ...),
qui me réconcilie complètement avec le genre...
Dans son graphisme, les personnages ont l'air vraiment vivants,
et expressifs...
Les paysages, et les bestioles inventés font vraiment rêver.
Pour finir, j'aime bien le côté un peu crapule de tous les personnages...
Ca vous branche où ça vous laisse de marbre ?
laisse sur sa faim. Du coup, j'ai trouvé qu'il ne se passait pas grand chose, je sais pas j'ai trouvé qu'il y avait un pb de rythme. En fait c'est vraiment la chute qui m'a gênée. Avec un peu de chance on attendra pas 6 ans pour avoir la suite.Jean Claude Tergal... oui, c'est drôle.. mais bizarrement, ça me fout le cafard...shoki a écrit :je ne me suis mise que récemment au monde de la BD, je ne suis pas du tout portée heroin fantasy ou autres
avec mon humour de beauf, je me suis mise a lire Jean Claude Tergal, tout ce que j aime, un vrai champion ce mec
sinon je suis aussi tres fan des BD de l Association (Joan Sfar, Marjane Satrapi)..et des nouveautés, comme "Comment le cancer m a fait aimer les mots croisés" , que j ai acheté apres en avoir lu une bonne chronique. mais j ai pas encore osé le lire, c est vrai
J'ai bien aimé les graphisme, le fait que le sujet soit abordéVoilà un livre bien particulier et qui ne ressemble à rien du catalogue de L’Association.
Aude Picault, illustratrice pour la jeunesse et auteur d’un remarqué Moi, Je aux éditions Warum, a rempli les pages de ce carnet, sans volonté de publication,
en guise d’exorcisme, après le suicide de son père. Le résultat est d’autant plus bouleversant que le côté frêle et “jeunesse” du dessin d’Aude Picault
contraste de façon saisissante avec la violence du propos. Rarement la mort aura été abordée aussi frontalement par le dessin. D’aucuns nous demanderont
si on est encore ici dans la bande dessinée... L’Association répondra qu’on a ici un livre, du dessin, de la narration, et des émotions sans équivalent.
