Je pense que ma stratégie consistant à me montrer gentil et attendre des jours meilleurs ne passe pas (laule aussi, me montrer gentil). J’ai donc claqué des portes, j’ai gueulé sur elle comme du chien pourri et j’ai menacé d’appeler ma RH pour me trouver un autre logement si elle ne remet pas sa télé et son lit dans sa chambre et qu’elle n’a qu’à se trouver un travail plutôt que de sous-louer sa chambre (tout dans sa personnalité me dégoûte en plus, parce que plus j’en connais sur elle, plus je me dis que cette fille est toxique. Par exemple : elle est contre le mouvement pro-avortement en Argentine et diffuse des fake news comme quoi le mouvement vert saccage tout).
Parce que supporter sa famille qui s’incruste, ça va bien deux minutes. Mais qu’elle invite des inconnus en RBNB et qu’elle propose ensuite aux deux Françaises de loger pour une durée indéterminée, pendant qu’elle dort toute la journée/regarde la TV dans le salon qu’elle s’est appropriée, ça va bien deux minutes.
Le fait de penser qu’elle m’a menti en parlant d’amis (ma cheffe, qui vit en Argentine depuis près de 30 ans est catégorique, ce n’est pas un biais culturel d’appeler des inconnus des amis, mais bien un mensonge).
Donc après cet ultimatum, je retrouve l’appartement calme, avec enfin le salon pour travailler (ceux qui me diront de travailler dans ma chambre peuvent essayer, vu que le WIFI ne se rend pas jusque-là). D’accord, j’ai bien plombé l’ambiance et je dois passer pour un psychopathe de première catégorie, mais elle l’a bien cherché cette conne.
Mais de toute façon, j’ai quand même envoyé un courriel bien détaillé à ma responsable en RH expliquant toute la situation. J’ai hâte de passer à ma deuxième expérience de collocation. Avec de la chance, je vais tomber sur des putains de hippies.
Le Comité Contre la Colocation avec des Cons
Re: Le Comité Contre la Colocation avec des Cons
Laharl ce héros.Laharl a écrit :Je pense que ma stratégie consistant à me montrer gentil et attendre des jours meilleurs ne passe pas (laule aussi, me montrer gentil). J’ai donc claqué des portes, j’ai gueulé sur elle comme du chien pourri et j’ai menacé d’appeler ma RH pour me trouver un autre logement si elle ne remet pas sa télé et son lit dans sa chambre et qu’elle n’a qu’à se trouver un travail plutôt que de sous-louer sa chambre (tout dans sa personnalité me dégoûte en plus, parce que plus j’en connais sur elle, plus je me dis que cette fille est toxique. Par exemple : elle est contre le mouvement pro-avortement en Argentine et diffuse des fake news comme quoi le mouvement vert saccage tout).
Parce que supporter sa famille qui s’incruste, ça va bien deux minutes. Mais qu’elle invite des inconnus en RBNB et qu’elle propose ensuite aux deux Françaises de loger pour une durée indéterminée, pendant qu’elle dort toute la journée/regarde la TV dans le salon qu’elle s’est appropriée, ça va bien deux minutes.
Le fait de penser qu’elle m’a menti en parlant d’amis (ma cheffe, qui vit en Argentine depuis près de 30 ans est catégorique, ce n’est pas un biais culturel d’appeler des inconnus des amis, mais bien un mensonge).
Donc après cet ultimatum, je retrouve l’appartement calme, avec enfin le salon pour travailler (ceux qui me diront de travailler dans ma chambre peuvent essayer, vu que le WIFI ne se rend pas jusque-là). D’accord, j’ai bien plombé l’ambiance et je dois passer pour un psychopathe de première catégorie, mais elle l’a bien cherché cette conne.
Mais de toute façon, j’ai quand même envoyé un courriel bien détaillé à ma responsable en RH expliquant toute la situation. J’ai hâte de passer à ma deuxième expérience de collocation. Avec de la chance, je vais tomber sur des putains de hippies.
Re: Le Comité Contre la Colocation avec des Cons
Oh lala mais comment t'as bien fait!
Elle a l'air bien bien con.
Elle mérite un bon herpès.
Next one.
Elle a l'air bien bien con.
Elle mérite un bon herpès.
Next one.
Re: Le Comité Contre la Colocation avec des Cons
Suite de l’histoire.
Suite à mon courriel, ma RH est furieuse contre coloc coconne, ce qui fait que je ne l’ai plus vu depuis quelques jours. Ouf.
La responsable RH veut quand même me trouver un appartement dans lequel je ne me sente pas mieux, mais bien. Ça fait chaud au cœur de se sentir choyé comme ça. Elle s’est donc mise en tête de me trouver une nouvelle victime un nouvel appart.
Le premier que j’ai visité hier est super, j’ai même un petit bureau dans ma chambre, ce qui me permettra de me faire exploiter de travailler pendant les fins de semaine parce que le peso s’est complétement effondré, que mon salaire qui devait être équivalent à 1000 $CA en vaut désormais la moitié et que je ne suis augmenté que de 5% (l’inflation doit être au moins de 30 %. Par mois).
Mais vu que l’argent ne me sert qu’à manger, je ne vais pas me plaindre.
La coloc semble normale, elle travaille de chez elle, l’appart est super sécurisé (il y a un gardien à l’entrée de l’immeuble, le luxe), et dulce de leche sur l’alfajores (la cerise sur le gâteau quoi) : l’appart est dans l’immeuble situé à côté de celui du travail. Bousculer les gens dans la rue parce qu’ils marchent comme des cloportes va certainement me manquer.
Seul bémol, elle a un chat, et j’en suis allergique. Mais bon, vu que je suis encore plus allergique aux humains, j’opte pour le chat.
On a également visité un autre appart, mais il était tellement horrible : trop loin, en colocation avec trois autres étudiants (dont un Français, eurk). Et surtout, la saleté, des bouteilles de bière partout, la chambre exiguë et humide, la douche AVEC la toilette dedans. Et on a été accueilli par l’un des trois autres coloc, le Français vu son accent, en caleçon et à moitié réveillé. Le fait qu’il soit mignon et se promène à moitié à poil était vraiment le seul argument pour choisir cet appartement. Heureusement, je sais résister aux tentations.
Suite à mon courriel, ma RH est furieuse contre coloc coconne, ce qui fait que je ne l’ai plus vu depuis quelques jours. Ouf.
La responsable RH veut quand même me trouver un appartement dans lequel je ne me sente pas mieux, mais bien. Ça fait chaud au cœur de se sentir choyé comme ça. Elle s’est donc mise en tête de me trouver une nouvelle victime un nouvel appart.
Le premier que j’ai visité hier est super, j’ai même un petit bureau dans ma chambre, ce qui me permettra de me faire exploiter de travailler pendant les fins de semaine parce que le peso s’est complétement effondré, que mon salaire qui devait être équivalent à 1000 $CA en vaut désormais la moitié et que je ne suis augmenté que de 5% (l’inflation doit être au moins de 30 %. Par mois).
Mais vu que l’argent ne me sert qu’à manger, je ne vais pas me plaindre.
La coloc semble normale, elle travaille de chez elle, l’appart est super sécurisé (il y a un gardien à l’entrée de l’immeuble, le luxe), et dulce de leche sur l’alfajores (la cerise sur le gâteau quoi) : l’appart est dans l’immeuble situé à côté de celui du travail. Bousculer les gens dans la rue parce qu’ils marchent comme des cloportes va certainement me manquer.
Seul bémol, elle a un chat, et j’en suis allergique. Mais bon, vu que je suis encore plus allergique aux humains, j’opte pour le chat.
On a également visité un autre appart, mais il était tellement horrible : trop loin, en colocation avec trois autres étudiants (dont un Français, eurk). Et surtout, la saleté, des bouteilles de bière partout, la chambre exiguë et humide, la douche AVEC la toilette dedans. Et on a été accueilli par l’un des trois autres coloc, le Français vu son accent, en caleçon et à moitié réveillé. Le fait qu’il soit mignon et se promène à moitié à poil était vraiment le seul argument pour choisir cet appartement. Heureusement, je sais résister aux tentations.
Re: Le Comité Contre la Colocation avec des Cons
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ZenAttitude
- Messages : 31
- Inscription : mer. août 15, 2018 5:15 pm
Re: Le Comité Contre la Colocation avec des Cons
Petit ajout supplémentaire (et le premier qui éclate de rire m'offre un avatar de Lucifer) :
Lors de mes études universitaires en Belgique, chez nous, la coloc s'appelle un "kot" ; je pense avoir été le pire des psycholocs de la planète.
En plus d'être un maniaque et un malade mental (ancien militaire), je suis également... une nouvelle forme de coloc, comme je le disais, le psycholoc.
Dans ma toute première coloc, nous étions 15, 12 filles dont 3 gars, répartis sur 3 étages (avec annexe). Donc : 3 mecs.
Bien emmerdé le matin parce que la douche était en commun sur chaque étage, j'ai commencé mon plan d'invasion en mode Dark Vador. Je me suis dit : "tiens... elles prennent toutes leurs douches pendant 50 ans alors que nous (les gars) ça prend 5 secondes et tout le monde est nerveux niveau timing. Il me faut donc trouver un moyen de neutralisation rapide et efficace".
Réponse... ?
Neutralisation directe du chauffe-eau pendant qu'elles prennent leur douche qui dure un milliard d'années.
C'était assez hilarant d'entendre des cris comme : "HHAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH" d'un seul coup. Entre temps j'avais regagné ma chambre, complètement en mode invisible. Donc zéro preuve de ma culpabilité. J'ai vraiment été une pourriture intégrale dans leur vie, jusqu'à ce qu'elles commencent à paranoïer et limiter leur temps de conso d'eau, et de temps le matin.
-
Seconde coloc' : nous étions 10, dont 2 filles (heureusement je n'ai pas été obligé d'éteindre le chauffe-eau) sur 2 étages.
J'ai pris des photos de tout le monde en train de gerber dans les toilettes (alcool) + crochetage de serrure pour placer différentes caméras et filmer leurs ébats nocturnes avec leurs copains/copines CE QUI EST FORMELLEMENT INTERDIT PAR LE REGLEMENT.
Résultat : ils ont arrêté de se plaindre que ça puait la clope au RdC. Parce qu'en plus, j'avais enregistré à leur insu, sur magnéto, des témoignages audio attestant qu'ils fumaient des joints et "enculaient le système". C'est une technique de manipulation assez hardcore mais ça marche quand tu veux vivre en paix.
-
Troisième coloc' : 6 personnes, 3 filles 3 garçons.
Je finissais mes thèses doctorales et pendant la fucking night, j'entendais mes colocs ramener leurs petit ami/petite amie la nuit "genre en loucedé", genre ils se croyaient discrets. Alors que les fucking bruits de leurs matelas les trahissaient. Ayant un sommeil fragile (insomnies) et bossant comme un malade mental pour arriver à mes fins estudiantines et doctorales, ce bruit était épouvantable.
Tu les entendais baiser à des kilomètres, les murs étant peu épais...
ET MOI UN MAL DE CRANE INTENSE !
Je les ai tous calmé(e)s en leur filant du poivre israélien à leur insu lors de soirées très conviviales.
-
[youtube]xc9fCzoszDs[/youtube]
Lors de mes études universitaires en Belgique, chez nous, la coloc s'appelle un "kot" ; je pense avoir été le pire des psycholocs de la planète.
En plus d'être un maniaque et un malade mental (ancien militaire), je suis également... une nouvelle forme de coloc, comme je le disais, le psycholoc.
Dans ma toute première coloc, nous étions 15, 12 filles dont 3 gars, répartis sur 3 étages (avec annexe). Donc : 3 mecs.
Bien emmerdé le matin parce que la douche était en commun sur chaque étage, j'ai commencé mon plan d'invasion en mode Dark Vador. Je me suis dit : "tiens... elles prennent toutes leurs douches pendant 50 ans alors que nous (les gars) ça prend 5 secondes et tout le monde est nerveux niveau timing. Il me faut donc trouver un moyen de neutralisation rapide et efficace".
Réponse... ?
Neutralisation directe du chauffe-eau pendant qu'elles prennent leur douche qui dure un milliard d'années.
C'était assez hilarant d'entendre des cris comme : "HHAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHH" d'un seul coup. Entre temps j'avais regagné ma chambre, complètement en mode invisible. Donc zéro preuve de ma culpabilité. J'ai vraiment été une pourriture intégrale dans leur vie, jusqu'à ce qu'elles commencent à paranoïer et limiter leur temps de conso d'eau, et de temps le matin.
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Seconde coloc' : nous étions 10, dont 2 filles (heureusement je n'ai pas été obligé d'éteindre le chauffe-eau) sur 2 étages.
J'ai pris des photos de tout le monde en train de gerber dans les toilettes (alcool) + crochetage de serrure pour placer différentes caméras et filmer leurs ébats nocturnes avec leurs copains/copines CE QUI EST FORMELLEMENT INTERDIT PAR LE REGLEMENT.
Résultat : ils ont arrêté de se plaindre que ça puait la clope au RdC. Parce qu'en plus, j'avais enregistré à leur insu, sur magnéto, des témoignages audio attestant qu'ils fumaient des joints et "enculaient le système". C'est une technique de manipulation assez hardcore mais ça marche quand tu veux vivre en paix.
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Troisième coloc' : 6 personnes, 3 filles 3 garçons.
Je finissais mes thèses doctorales et pendant la fucking night, j'entendais mes colocs ramener leurs petit ami/petite amie la nuit "genre en loucedé", genre ils se croyaient discrets. Alors que les fucking bruits de leurs matelas les trahissaient. Ayant un sommeil fragile (insomnies) et bossant comme un malade mental pour arriver à mes fins estudiantines et doctorales, ce bruit était épouvantable.
Tu les entendais baiser à des kilomètres, les murs étant peu épais...
ET MOI UN MAL DE CRANE INTENSE !
Je les ai tous calmé(e)s en leur filant du poivre israélien à leur insu lors de soirées très conviviales.
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[youtube]xc9fCzoszDs[/youtube]
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ZenAttitude
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- Inscription : mer. août 15, 2018 5:15 pm
Re: Le Comité Contre la Colocation avec des Cons
@Norma : au moins, j'ai réussi à faire craquer tout le monde, même toi. Tu m'as insulté de sociopathe. En gros, point positif : je suis d'accord.
Parce qu'en coloc, quand tu as X personnes bourrées en train de vomir dans les toilettes après une soirée bien arrosée et que tu cherches le calme, tu as bien le droit de te venger et mettre un terme à cela.
En plus Risitas est casé dans le post. What else ?
Parce qu'en coloc, quand tu as X personnes bourrées en train de vomir dans les toilettes après une soirée bien arrosée et que tu cherches le calme, tu as bien le droit de te venger et mettre un terme à cela.
En plus Risitas est casé dans le post. What else ?
Re: Le Comité Contre la Colocation avec des Cons
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