Je réfléchis et je me dis...
Re: Je réfléchis et je me dis...
Ces bots, ils deviennent d'un trash, avec le temps
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Re: Je réfléchis et je me dis...
En vérifiant qu'Annie Cordy avait pas posté dans Sexualité, ça m'aura appris que la personne attachée dans un plan bondage s'appelle une bondagette.
C'est rigolo !
C'est rigolo !
- yellowthing
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Re: Je réfléchis et je me dis...
Une semaine sans fumer
Je ne suis pas là, vous ne me voyez pas, ce n'est qu'une illusion. Rendormez-vous.
Re: Je réfléchis et je me dis...
Bon. Je me demande ce qu'il m'arrive un petit peu. D'énormes opportunités ou une nouvelle future déception ? Je ne sais. Depuis que le directeur de la maison d'édition m'a appelée pour une collaboration anthropologique, les propositions se multiplient. Demain, atelier d'écriture et il me propose d'être son assistante. Bien sûr, tout est bénévole. Il m'a cependant laissé supposer que si le projet anthropologique voit le jour, il y aura certainement une bourse d'études à la clef. Suis-je en mesure de décliner ? Jusqu'à quel point je peux m'investir ? Et faire confiance ? Est-ce que je me méfie trop ou au contraire, je suis trop naïve ? Faut-il que j'arrête de faire ma solitaire et que je me lance à fond dans une collaboration professionnelle ?
Je ne sais vraiment pas. D'un côté, cela me fait tout bizarre qu'on me considère déjà professionnelle dans mon domaine et qu'on apprécie mon mode de pensée. En plus, participer à de tels projets me fait plaisir. Et c'est quand même un directeur de maison d'édition qui a bossé pour Jean Rouch. Je me vois difficilement bloquer sur ces possibilités... De l'autre, je suis une étudiante sans le sou, mon master doit péniblement aboutir sur son diplôme, j'ai un déménagement probable à préparer et je suis donc passablement fatiguée, stressée...
Bref. C'est le doute.
J'imagine que j'aviserai bien demain soir.
Ah, si. Il souhaite aussi que je publie pour la maison d'édition. En tout cas, dans l'anthologie de nouvelles.
Je ne sais vraiment pas. D'un côté, cela me fait tout bizarre qu'on me considère déjà professionnelle dans mon domaine et qu'on apprécie mon mode de pensée. En plus, participer à de tels projets me fait plaisir. Et c'est quand même un directeur de maison d'édition qui a bossé pour Jean Rouch. Je me vois difficilement bloquer sur ces possibilités... De l'autre, je suis une étudiante sans le sou, mon master doit péniblement aboutir sur son diplôme, j'ai un déménagement probable à préparer et je suis donc passablement fatiguée, stressée...
Bref. C'est le doute.
J'imagine que j'aviserai bien demain soir.
Ah, si. Il souhaite aussi que je publie pour la maison d'édition. En tout cas, dans l'anthologie de nouvelles.
Re: Je réfléchis et je me dis...
Veinarde ! Moi, poussé par un pote, j'ai participé à un appel à texte cette année... je me suis fait proprement rekt. En plus, je l'aimais bien, cette nouvelle.Ma'iitsoh a écrit :Ah, si. Il souhaite aussi que je publie pour la maison d'édition. En tout cas, dans l'anthologie de nouvelles.
Re: Je réfléchis et je me dis...
C'est hyper chaud de publier, tu sais. Il faut des tas de tentatives en général. Je me suis fait bouler aussi pour mon dernier concours de nouvelles. Par contre, j'ai été retenue pour un roman dans une grande maison d'édition mais les b***rds avaient maquillé le fait qu'ils publiaient uniquement à compte d'auteur (une vraie belle arnaque car pas une fois, on ne voit mentionné un compte d'auteur et pourtant, un beau devis accompagne le contrat...). Du coup, je n'ai pas vraiment de sous planqués sous mon matelas pour gérer les frais d'impression. Même si l'offre était très, très belle, j'ai dû décliner...Eustache a écrit :Veinarde ! Moi, poussé par un pote, j'ai participé à un appel à texte cette année... je me suis fait proprement rekt. En plus, je l'aimais bien, cette nouvelle.Ma'iitsoh a écrit :Ah, si. Il souhaite aussi que je publie pour la maison d'édition. En tout cas, dans l'anthologie de nouvelles.
Un vrai parcours du combattant empli d'espoirs et déceptions. Mais on s'accroche ; des fois, ça passe !
Re: Je réfléchis et je me dis...
Beaucoup de flou dans une seule phrase.Ma'iitsoh a écrit : il me propose d'être son assistante. Bien sûr, tout est bénévole. Il m'a cependant laissé supposer que si le projet anthropologique voit le jour, il y aura certainement une bourse d'études à la clef.
Aussi, collaboration professionnelle et gratuité, c'est un bel oxymore.
Re: Je réfléchis et je me dis...
Ca sent à 30 000 kilomètre la manipulation, ça.Ma'iitsoh a écrit :Bon. Je me demande ce qu'il m'arrive un petit peu. D'énormes opportunités ou une nouvelle future déception ? Je ne sais. Depuis que le directeur de la maison d'édition m'a appelée pour une collaboration anthropologique, les propositions se multiplient. Demain, atelier d'écriture et il me propose d'être son assistante. Bien sûr, tout est bénévole. Il m'a cependant laissé supposer que si le projet anthropologique voit le jour, il y aura certainement une bourse d'études à la clef. Suis-je en mesure de décliner ? Jusqu'à quel point je peux m'investir ? Et faire confiance ? Est-ce que je me méfie trop ou au contraire, je suis trop naïve ? Faut-il que j'arrête de faire ma solitaire et que je me lance à fond dans une collaboration professionnelle ?
Je ne sais vraiment pas. D'un côté, cela me fait tout bizarre qu'on me considère déjà professionnelle dans mon domaine et qu'on apprécie mon mode de pensée. En plus, participer à de tels projets me fait plaisir. Et c'est quand même un directeur de maison d'édition qui a bossé pour Jean Rouch. Je me vois difficilement bloquer sur ces possibilités... De l'autre, je suis une étudiante sans le sou, mon master doit péniblement aboutir sur son diplôme, j'ai un déménagement probable à préparer et je suis donc passablement fatiguée, stressée...
Bref. C'est le doute.
J'imagine que j'aviserai bien demain soir.
Ah, si. Il souhaite aussi que je publie pour la maison d'édition. En tout cas, dans l'anthologie de nouvelles.
Tu devrais refuser.
Il te met dans des dispositions qui te font accepter des choses que tu aurais refusé si elles t'avaient été demandées frontalement depuis le début.
Comme tu le dis toi-même,tu es étudiante sans le sous, t'as un master à faire aboutir.
Ce genre de "collaboration", tu les feras après tes diplômes, quand tu seras vraiment professionnelle, et avec une rémunération.
Si ce monsieur était vraiment influent et dans une bonne position, ne crois-tu pas qu'il t'aurait proposé une rémunération, même au smic ?
Ok il y a pas de thunes dans l'édition,mais quand on dit ça on dit qu'il y a peu de dividendes pour ceux qui investissent, pas qu'il n'est pas possible de sortir 500 boules pour un micro salaire + charges ou de bidouiller un droit d'auteur sur un projet fictif si on veut économiser sur les charges pour te filer 200 balles;
Bref, renseigne-toi sur le personnage auprès de personnes ayant travaillé avec lui.
Mais pour l'instant, ça pue.
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Re: Je réfléchis et je me dis...
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Re: Je réfléchis et je me dis...
Ben finalement, j'ai assouvi ma curiosité. J'ai aussi posé des questions aux alentours sur le personnage, il semble clean et réglo. Je me méfie toujours des éditeurs (c'est viscéral chez les écrivains) mais celui-là est quand même assez sympa (il faut dire que la maison d'édition a des franchises super cools de livres de l'imaginaire et de jeux de rôles). Et l'atelier d'écriture est une idée originale et plaisante. Il n'y aura que peu de séances (donc ça ira pour moi) et l'éditeur s'est fixé sur mes horaires. En plus de quoi, il me fournit du matériel d'enregistrement pour que ce soit plus simple à la fois de participer et de prendre des notes.
Car finalement, je participe. Ce qui veut dire que je suis présélectionnée pour l'anthologie de nouvelles et que mon écrit sera publié. Bon ben, je ne vais pas dire que ça soit mauvais, ça !
Car finalement, je participe. Ce qui veut dire que je suis présélectionnée pour l'anthologie de nouvelles et que mon écrit sera publié. Bon ben, je ne vais pas dire que ça soit mauvais, ça !