Re: La boite de Pandore…
Publié : ven. janv. 12, 2018 4:38 pm
Merci Helbe pour ta réponse !
Crois-le ou non elle m’a fait du bien et même *rire* pas dans le sens ou je me moque non non loin de là mais dans le sens ou finalement tu es presque Ellie… je veux dire tu es comme elle, tu envois des signaux confus et nous en face on doit faire le tri, comprendre, pas toujours facile de vous suivre ! C’est vrai que vous êtres des être complexe, pour Ellie je peux même dire qu’elle est parfois froide et ça ne vous en rends que plus attachant…
Ellie aussi a comparait notre situation a un petit boulet qu’elle se traine mais qu’elle était contente de me retrouver.
Au moins toi, tu as réalisé ça, tu as réalisé comment tu fonctionner avec les vilains petits canard (tu m’aurais adorée à l’époque du lycée !!! ) C’est clairement ce que j’appelle le complexe du héros, c’est grisant de devenir indispensable pour quelqu’un n’est-ce pas ? De l’aider à se reconstruire ? D’être la raison de son sourire, de son bien-être. Tout comme c’est plaisant pour les vilains petits canards d’avoir un sauveur… parce qu’on existe de nouveau, on nous dit qu’on a de la valeur. Que nous sommes des êtres spéciaux et que l’on croit en nous, notre sauveur nous promet même d’être TOUJOURS là pour nous, et on s’accroche à cette promesse, on y croit parce que saint sauveur devient notre univers. On fait tout pour lui plaire, pour rester dans ses bonnes grâces et souvent ont y parviens sans mal, parce que saint sauveur nous voit évoluer que ça le rend fier… et puis un jour il y a cette fracture, soit parce que le petit canard passe une ligne (comme cet homme qui a voulu t’embrasser, ce que je n’ai jamais fait avec Ellie !) soit parce que la relation devient trop fusionnelle, exclusif même, et que saint sauveur s’affole parce qu’il se sent envahis et qu’il réalise que les limite n’était pas claire, mais c’est trop tard !
Et moi je me suis retrouvée du jour au lendemain, sans elle, sans explication parce que oui elle jouer les mortes comme tu dis. Pourtant elle y est revenue… ça lui a prit 10 ans mais elle est revenue et tu aurais dû voir son visage le jour de nos retrouvailles, elle était aussi émue que moi, peut être même plus parce qu’elle a verser une larme, chose que je n’ai pas fait.
Ton histoire et la mienne ne sont pas si différente tu sais, nous sommes un peu comme les deux face qu’une même pièce, toi le sauveur, moi le vilain canard. C’est certains que c’est peut-être plus intense entre Ellie et moi, d’abord parce qu’on a joué a ça pendant deux ans, et puis parce que j’étais aussi très jeune, a 16 ans même si tu crois que tu es une grande fille tu restes impressionnable et c’est pour ça qu’elle m’a marqué si fortement.
Je sais que je suis en codépendance avec elle, et quelque part je le serai surement toujours… parce que c’est évident que peut importe ce lien entre nous, nous ne sommes clairement pas prêtes à le lâcher ni l’une ni l’autre. Mais moi contrairement a elle, j’ai la volonté de vouloir éclaircir les choses, mettre des mots sur ça, chose qu’elle refuse obstinément ! Et je ne peux pas la forcer…
Je lui ai demander une fois si elle avait eu de nouveau des élèves *comme moi* elle m’a répondu en demi blague : Tu es la personne la plus atypique que je connaisse et c’est pour ça que je te cite souvent en exemple a mes élèves.
Les choses en sont restés la…
Norma a soulevé un bon point c'est vrai, tant mieux si tu en profite aussi ! Mais du coup je me demande si je ne ai pas le reflex de Pavlov avec elle… ca serait une explication logique !
Crois-le ou non elle m’a fait du bien et même *rire* pas dans le sens ou je me moque non non loin de là mais dans le sens ou finalement tu es presque Ellie… je veux dire tu es comme elle, tu envois des signaux confus et nous en face on doit faire le tri, comprendre, pas toujours facile de vous suivre ! C’est vrai que vous êtres des être complexe, pour Ellie je peux même dire qu’elle est parfois froide et ça ne vous en rends que plus attachant…
Ellie aussi a comparait notre situation a un petit boulet qu’elle se traine mais qu’elle était contente de me retrouver.
Au moins toi, tu as réalisé ça, tu as réalisé comment tu fonctionner avec les vilains petits canard (tu m’aurais adorée à l’époque du lycée !!! ) C’est clairement ce que j’appelle le complexe du héros, c’est grisant de devenir indispensable pour quelqu’un n’est-ce pas ? De l’aider à se reconstruire ? D’être la raison de son sourire, de son bien-être. Tout comme c’est plaisant pour les vilains petits canards d’avoir un sauveur… parce qu’on existe de nouveau, on nous dit qu’on a de la valeur. Que nous sommes des êtres spéciaux et que l’on croit en nous, notre sauveur nous promet même d’être TOUJOURS là pour nous, et on s’accroche à cette promesse, on y croit parce que saint sauveur devient notre univers. On fait tout pour lui plaire, pour rester dans ses bonnes grâces et souvent ont y parviens sans mal, parce que saint sauveur nous voit évoluer que ça le rend fier… et puis un jour il y a cette fracture, soit parce que le petit canard passe une ligne (comme cet homme qui a voulu t’embrasser, ce que je n’ai jamais fait avec Ellie !) soit parce que la relation devient trop fusionnelle, exclusif même, et que saint sauveur s’affole parce qu’il se sent envahis et qu’il réalise que les limite n’était pas claire, mais c’est trop tard !
Et moi je me suis retrouvée du jour au lendemain, sans elle, sans explication parce que oui elle jouer les mortes comme tu dis. Pourtant elle y est revenue… ça lui a prit 10 ans mais elle est revenue et tu aurais dû voir son visage le jour de nos retrouvailles, elle était aussi émue que moi, peut être même plus parce qu’elle a verser une larme, chose que je n’ai pas fait.
Ton histoire et la mienne ne sont pas si différente tu sais, nous sommes un peu comme les deux face qu’une même pièce, toi le sauveur, moi le vilain canard. C’est certains que c’est peut-être plus intense entre Ellie et moi, d’abord parce qu’on a joué a ça pendant deux ans, et puis parce que j’étais aussi très jeune, a 16 ans même si tu crois que tu es une grande fille tu restes impressionnable et c’est pour ça qu’elle m’a marqué si fortement.
Je sais que je suis en codépendance avec elle, et quelque part je le serai surement toujours… parce que c’est évident que peut importe ce lien entre nous, nous ne sommes clairement pas prêtes à le lâcher ni l’une ni l’autre. Mais moi contrairement a elle, j’ai la volonté de vouloir éclaircir les choses, mettre des mots sur ça, chose qu’elle refuse obstinément ! Et je ne peux pas la forcer…
Je lui ai demander une fois si elle avait eu de nouveau des élèves *comme moi* elle m’a répondu en demi blague : Tu es la personne la plus atypique que je connaisse et c’est pour ça que je te cite souvent en exemple a mes élèves.
Les choses en sont restés la…
Norma a soulevé un bon point c'est vrai, tant mieux si tu en profite aussi ! Mais du coup je me demande si je ne ai pas le reflex de Pavlov avec elle… ca serait une explication logique !