sentimentalité déplacée
Re: sentimentalité déplacée
Curiosité et incompréhension ...
Y a des choses que j'ai pas mal de difficulté à comprendre dans ta situation en fait.
Je me demande si les savoir ne pourrait pas être utile pour t'aider, justement.
Libre à toi de répondre ou pas, en public ou en mp, si tu préfères pas en parler je ne t'en voudrais pas, hein :
Si j'ai bien compris, tu fais par dépit une formation que tu détestes parce qu'il n'y avait pas de place à la fac car tu t'y es prise trop tard, mais tu as très peur de perdre cette formation (que tu détestes et que tu as choisie par dépit) ?
Qu'est ce que tu redoutes si jamais ça se passe pas bien dans cette formation ?
Et pourquoi tu souhaites sauver des gens qui te veulent du mal ? Ta formation est un moyen de le faire ? Ou ça n'a rien à voir ?
Y a des choses que j'ai pas mal de difficulté à comprendre dans ta situation en fait.
Je me demande si les savoir ne pourrait pas être utile pour t'aider, justement.
Libre à toi de répondre ou pas, en public ou en mp, si tu préfères pas en parler je ne t'en voudrais pas, hein :
Si j'ai bien compris, tu fais par dépit une formation que tu détestes parce qu'il n'y avait pas de place à la fac car tu t'y es prise trop tard, mais tu as très peur de perdre cette formation (que tu détestes et que tu as choisie par dépit) ?
Qu'est ce que tu redoutes si jamais ça se passe pas bien dans cette formation ?
Et pourquoi tu souhaites sauver des gens qui te veulent du mal ? Ta formation est un moyen de le faire ? Ou ça n'a rien à voir ?
Re: sentimentalité déplacée
.
Dernière modification par sammmy le mer. nov. 29, 2017 11:43 pm, modifié 2 fois.
Re: sentimentalité déplacée
Ok, je comprend beaucoup mieux la situation.
Je vais re-réfléchir à ton topic avec ça en tête (I'll be back)
Je vais re-réfléchir à ton topic avec ça en tête (I'll be back)
Re: sentimentalité déplacée
Peut-etre serait-il possible de déplacer ce topic dans une section plus privée...?
Re: sentimentalité déplacée
|
Re: sentimentalité déplacée
Si tu veux vraiment du privé tu pourrais considérer ce qu'à dit Norma et lui envoyer un message privé, tu seras certainement plus à l'aise.sammmy a écrit :Peut-etre serait-il possible de déplacer ce topic dans une section plus privée...?
ÉDIT : Désolée, déjà dit une 2ème fois
Dernière modification par Anonyme sa le mar. nov. 28, 2017 3:40 pm, modifié 1 fois.
Re: sentimentalité déplacée
Après c'est toujours un peu dommage parce que confronter les opinions différentes ça peut être vache de bien.SweetApple a écrit :Si tu veux vraiment du privé tu pourrais considérer ce qu'à dit Norma et lui envoyer un message privé, tu seras certainement plus à l'aise.sammmy a écrit :Peut-etre serait-il possible de déplacer ce topic dans une section plus privée...?
Mais c'est une option qui reste ouverte.
Re: sentimentalité déplacée
Personnellement je n'arrive plus à suivre... J'essaie de discuter normalement.. Et y a des références poétiques et littéraires (non pas que ça me déplaise) mais je pense du coup qu'elle se confiera plus facilement si c'est privé et avec une seule personne. Ça ne reste que mon avis, après ^^Norma a écrit :Après c'est toujours un peu dommage parce que confronter les opinions différentes ça peut être vache de bien.SweetApple a écrit :Si tu veux vraiment du privé tu pourrais considérer ce qu'à dit Norma et lui envoyer un message privé, tu seras certainement plus à l'aise.sammmy a écrit :Peut-etre serait-il possible de déplacer ce topic dans une section plus privée...?
Mais c'est une option qui reste ouverte.
Re: sentimentalité déplacée
.
Dernière modification par sammmy le mer. nov. 29, 2017 11:43 pm, modifié 1 fois.
Re: sentimentalité déplacée
Déjà je t'arrête tout de suite : discuter avec toi sur le forum, crois-moi, par rapport à tous les trucs plus ou moins chelou/naze de moi, de mon entourage, de mes amis : c'est pas lourd DU TOUT. Ce type de situation, étrangement : j'ai l'habitude.
Ensuite, la question des poetes, Sweetapple on s'en fout c'est pas la question.
Par contre y'a quand même un truc dans ta situation sur lequel j'aimerais revenir.
Depuis le début j'ai un peu l'impression que tu es bloquée dans un faux-dilemme pour une raison ou pour une autre et que c'est ce blocage dans quelque cette contradiction rationnelle qui fait que tu pètes un plombs émotionnellement.
L'histoire de cette fille, c'est surtout l'histoire de ta peur démesurée des conséquences d'avoir montré des émotions/agis de manière inhabituelle, cette re-placardisation, et surtout cette peur/parano qui vient modifier tes comportement et tes choix.
Sans aller dans la psychologie de comptoir des cotonniers c'est quand même tentant de voir ton attraction pour elle et tes réaction comme une manière inconsciente de te mettre toute seule dans une situation de saboter le truc que tu t'infliges, de créer une porte de sortie, une fuite, une explosion.
Après c'est peut-être aussi un hasard.
Mais je reprends ce que tu dis il y a une chose qui est très claire : tu es dans une situation d'aliénation.
Tu suis des décisions qui ne sont pas les tiennes. Tu vas à l'encontre complet de ce que tu es. Tu poursuit des attitudes qui vont te détruire. Et ça sans la perspective du moindres bénéfice pour toi (outre une formation payée, mais l'argent tu pourrais l'avoir pareil avec des solutions beaucoup moins couteuses et la formation ne te plait pas).
C'est un peu normal que tu le vives mal et que ça tourne au chaos et à la dépression dans ta tête.
Ma lecture subjective des choses, mais je pense que c'est important que tu l'entendes, c'est que ces gens de ta famille on perdu tout droit à prétendre à la moindres obligation éthique à partir du moment où ils t'ont dit que les abus que tu subit étaient de ta faute.
Sérieusement.
Faut pas déconner là.
Tu ne dois moralement RIEN à des gens qui sont capable de ce niveau de merditude morale.
A force d'accueille/rejet, de valorisation/humiliation, de petit service puis de grand service ... ils ont réussit à te faire croire que tu leur devais quelque chose.
Que tu devais les soutenir. Que tu devais faire le truc qu'ils ont choisi pour toi et pour lequel ils ont payé. Et en plus te tenir à carreau, selon leurs valeurs.
Ils sont parvenus entre isolation sociale et géographique et petites techniques d'escalade et d'emprise à faire de toi quelqu'un qui suit les instructions d'autres que toi contre sur le plan personnel et professionnel.
Et à faire de toi quelqu'un vivant dans la peur.
Tu es une personne avec beaucoup de cordes à son arc. Avec des compétences, et avec du courage. Tu pourrais en toute logique et sans te retrouver dans la merde partir, lâcher ce qui n'est pas pour toi, vivre ta vie et te demmerder. Quitte à atterrir sur le canapé d'un.e pote et de faire un job alimentaire le temps de te refaire.
Mais pour ça il faut "juste" briser l'emprise et te rendre compte que rien ne t'oblige à vivre une vie qui te rends malheureuse pour suivre la volonté de personnes qui sont indécemment merdiques avec toi (franchement, le fait de t'attribuer la culpabilité d'un abus efface strictement toute chose positive qu'ils auraient pu faire par ailleurs. Ca les classes sans appelle possible dans la catégorie "grosse merdes" même s'ils avaient passé 40 ans de leur vie à soigner des enfants leucémiques).
Lâche tout ça. Casse toi. Redeviens toi-même.
Ensuite, la question des poetes, Sweetapple on s'en fout c'est pas la question.
Par contre y'a quand même un truc dans ta situation sur lequel j'aimerais revenir.
Depuis le début j'ai un peu l'impression que tu es bloquée dans un faux-dilemme pour une raison ou pour une autre et que c'est ce blocage dans quelque cette contradiction rationnelle qui fait que tu pètes un plombs émotionnellement.
L'histoire de cette fille, c'est surtout l'histoire de ta peur démesurée des conséquences d'avoir montré des émotions/agis de manière inhabituelle, cette re-placardisation, et surtout cette peur/parano qui vient modifier tes comportement et tes choix.
Sans aller dans la psychologie de comptoir des cotonniers c'est quand même tentant de voir ton attraction pour elle et tes réaction comme une manière inconsciente de te mettre toute seule dans une situation de saboter le truc que tu t'infliges, de créer une porte de sortie, une fuite, une explosion.
Après c'est peut-être aussi un hasard.
Mais je reprends ce que tu dis il y a une chose qui est très claire : tu es dans une situation d'aliénation.
Tu suis des décisions qui ne sont pas les tiennes. Tu vas à l'encontre complet de ce que tu es. Tu poursuit des attitudes qui vont te détruire. Et ça sans la perspective du moindres bénéfice pour toi (outre une formation payée, mais l'argent tu pourrais l'avoir pareil avec des solutions beaucoup moins couteuses et la formation ne te plait pas).
C'est un peu normal que tu le vives mal et que ça tourne au chaos et à la dépression dans ta tête.
Ma lecture subjective des choses, mais je pense que c'est important que tu l'entendes, c'est que ces gens de ta famille on perdu tout droit à prétendre à la moindres obligation éthique à partir du moment où ils t'ont dit que les abus que tu subit étaient de ta faute.
Sérieusement.
Faut pas déconner là.
Tu ne dois moralement RIEN à des gens qui sont capable de ce niveau de merditude morale.
A force d'accueille/rejet, de valorisation/humiliation, de petit service puis de grand service ... ils ont réussit à te faire croire que tu leur devais quelque chose.
Que tu devais les soutenir. Que tu devais faire le truc qu'ils ont choisi pour toi et pour lequel ils ont payé. Et en plus te tenir à carreau, selon leurs valeurs.
Ils sont parvenus entre isolation sociale et géographique et petites techniques d'escalade et d'emprise à faire de toi quelqu'un qui suit les instructions d'autres que toi contre sur le plan personnel et professionnel.
Et à faire de toi quelqu'un vivant dans la peur.
Tu es une personne avec beaucoup de cordes à son arc. Avec des compétences, et avec du courage. Tu pourrais en toute logique et sans te retrouver dans la merde partir, lâcher ce qui n'est pas pour toi, vivre ta vie et te demmerder. Quitte à atterrir sur le canapé d'un.e pote et de faire un job alimentaire le temps de te refaire.
Mais pour ça il faut "juste" briser l'emprise et te rendre compte que rien ne t'oblige à vivre une vie qui te rends malheureuse pour suivre la volonté de personnes qui sont indécemment merdiques avec toi (franchement, le fait de t'attribuer la culpabilité d'un abus efface strictement toute chose positive qu'ils auraient pu faire par ailleurs. Ca les classes sans appelle possible dans la catégorie "grosse merdes" même s'ils avaient passé 40 ans de leur vie à soigner des enfants leucémiques).
Lâche tout ça. Casse toi. Redeviens toi-même.