On appelle ça du déshonneur par association. Ce n'est pas parce que ce blog est hébergé par le Monde qu'il raconte forcément de la merde. Ni qu'Odile Fillod est une journaliste du Monde, d'ailleurs.Premièrement ta source est pourrie, car issue de lemonde.fr. Rien que "Le Monde" me donne la nausée au même titre que TF1 ou encore pire : Canal+.
Ça c'est un renversement de la charge de preuve. Si tu émets un postulat, c'est à toi de le prouver, pas aux autres de prouver qu'il est faux. C'est comme ça que ça marche en science.Quelqu'un qui s'est fait violer très jeune aura probablement plus de tendances homo que d'autres. Ou alors, si j'ai tort, prouvez-moi le contraire en m'expliquant comment certaines personnes se sentent homos dès l'enfance (genre à 12 ans) n'ayant subi aucun trauma spécifique.
Je suis d'accord avec Norma, tu devrais potasser un peu tes sophismes, parce que ces arguments ne valent pas grand-chose. et c'est pas une attaque personnelle, c'est vraiment un conseil que je te donne (que je donne aussi à tout le monde, en passant, et que j'essaye d'appliquer un maximum moi-même).
Quant à l'histoire des 10%, c'est du pur flan. D'ailleurs, dans sa conférence, Balthazart mettait une diapo avec des chiffres pour l'homosexualité masculine seulement (et les femmes, elles sont où ?), pour sept pays (ce qui n'est pas vraiment représentatif de l'humanité, on est d'accord), et tirait en plus ses chiffres d'une étude vieille de plus de 20 ans. Pas très à la page. Comment tu veux obtenir ces statistiques ? En interrogeant les gens ? Si oui, comment être sûr que l'échantillon est représentatif de la population sur Terre ? C'est impossible. La vérité, c'est qu'on ne connaît pas la proportion réelle d'homosexuels dans la société, qu'on ne la connaîtra jamais, et qu'en plus si ça se trouve elle change en permanence au fur et à mesure.
Edit: Bon ben même conclusion que Norma, en fait.